1970-2000
La vraie bonne chose à dire sur ce concert de 2000, c'est la grande forme vocale de BOWIE. Il ne déçoit généralement pas et porte à lui seul l'émotion de certains des titres choisis. Rien que "Wild...
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le 17 févr. 2019
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L’intégrale d’une prestation où Bowie renouait avec l’esprit de ses mémorables années 1970. Un point d’orgue historique dans son épopée. Si le quatrième volume — Loving the alien, couvrant les années 80 — des coffrets aussi exhaustifs que rétrospectifs de l’œuvre de David Bowie peine à vous tenter, voici une proposition alternative pour nourrir votre appétit d’inédit : l’intégrale de la performance historique du Thin White Duke au festival de Glastonbury en juin 2000. Historique ? Oui. Parce que si les enregistrements live de Bowie ne manquent pas, aucun n’est parvenu à trouver grâce aux yeux de tous ses admirateurs. En commençant par les deux premiers « officiels », David Live (1974) ou Stage (1978), qui comptent autant de défenseurs que de détracteurs.En 2000, après une décennie à fuir avec plus ou moins de bonheur le grand public (de l’affreux groupe Tin Machine à la drum’n’bass d’Earthling en passant par le sombre et glaçant Outside), il se réconciliait avec l’esprit plus mélodieux et pop de ses heures de gloire seventies. Sur l’album Hours, tout d’abord, mais surtout avec cette prestation magique devant la foule immense du plus prestigieux des festivals britanniques. En clin d’œil à sa performance au même endroit trente ans auparavant, il apparut, à 53 ans, avec des cheveux longs et ondulés, dans une magnifique tenue à motifs renvoyant au look Lauren Bacall/Veronica Lake qu’il arborait à l’époque de The Man who sold the world. Surmontant un trac perceptible (le double CD est accompagné du DVD du show) accru par un mal de gorge récent, il survola en beauté, épaulé notamment par la bassiste Gail Ann Dorsey, le pianiste fidèle Mike Garson et le guitariste revenant Earl Slick, avec grâce et chaleur (il bavarde volontiers entre les titres), un répertoire presque parfait (Wild is the wind en ouverture, suivi d’une flopée d’incontournables et de quelques surprises, comme All the young dudes ou Under pressure), constitué de la plupart de ses classiques. Il y aura bien d’autres concerts jusqu’à son éclipse pour raisons de santé, en 2004, mais cette prestation-ci peut s’aborder comme un retour de flamme et des adieux à la scène aussi humains que classieux. (T)
Créée
le 10 mars 2022
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On connait Bowie, et donc là nous sommes gâtés puisque, c'est ses meilleurs titres et donc un régal. 8 car évidement c'est Bowie et c'est un bon concert brut, il manque deux points. Un point car il...
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