Joyau pur ! Entre les suavissimes "Living for the city" et "Don't worry 'bout the thing", les touchants "Jesus Children of America", "He's Misstra Know-it-All" et le terrassant de génie "All in love is fair", Wonder au panthéon !
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Mes préférés des "1001 albums qu'il faut avoir écoutés dans sa vie" et Mars 2024 / Musique
Créée
le 20 mars 2024
Critique lue 11 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Innervisions
Joyau pur ! Entre les suavissimes "Living for the city" et "Don't worry 'bout the thing", les touchants "Jesus Children of America", "He's Misstra Know-it-All" et le terrassant de génie "All in love...
le 20 mars 2024
1 j'aime
En aout 1973 , Steveland Judkins (Stevie Wonder) a vingt-trois ans . Ses combats , ses phobies et ses passions , se transcrivent dans , ce que je considère comme de l'album le plus abouti de...
Par
le 27 nov. 2022
1 j'aime
4
Stevie Wonder a le talent dans le sang. Dès les premières secondes de Living for the City, on est happé, c'est inévitable. C'est ce qui est génial avec ce mec, c'est que dès les premières notes (sur...
Par
le 2 sept. 2020
1 j'aime
7
Du même critique
Indispensable pour son sujet et ce qu'il témoigne des violences sexuelles faites aux mineurs. Mais, comme objet de cinéma, hormis les inventions exportées du théâtre, il n'invente rien. Et...
le 20 nov. 2018
8 j'aime
8
De la Nouvelle Vague d'où L.Garrel tire sa filiation, il n'en reste ici que peau de chagrin. Exit la légèreté, le dilettantisme, la gracilité de Truffaut ou Rohmer. Bonjour le sérieux de pape d'un...
le 7 janv. 2019
8 j'aime
La puissance de cet EP, derrière la modestie de son contenu, tient à la sagace composition de ses beats, entre rap, hip hop et dubstep franc, et à la plume aiguisée et percutante de son auteur,...
le 25 mai 2017
8 j'aime
