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Labour
Iceage a fait quelque chose d’assez imprévisible. New Brigade et You’re Nothing développaient une puissance brute, ici se mêle à cette puissance des cassures (piano, cuivres etc…) donnant des aspects...
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le 14 oct. 2014
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Iceage a fait quelque chose d’assez imprévisible. New Brigade et You’re Nothing développaient une puissance brute, ici se mêle à cette puissance des cassures (piano, cuivres etc…) donnant des aspects mélancoliques aux morceaux (Forever en est le plus bel exemple). Cela n’empêche à l’album de tenir sur une intensité mêlant violence et désespoir. Même si cette dernière se déverse dans les trois derniers titres, d’où une impression qu’ils cassent le mouvement de Plowing Into the Field of Love, pris séparément, ils n’en restent pas moins excellent.
Entre les excès (Abudent Living, Let it Vanish) et la nausée (Glassy Eyed, Dormant and Veiled, On My Fingers), le chant est hanté, notamment, par la figure de Nick Cave. Filiation maudite. Iceage travaille a même les émotions, en profondeur ou en surface, qu’importe, elles seront emportées.
Entre les excès (Abudent Living, Let it Vanish) et la nausée (Glassy Eyed, Dormant and Veiled, On My Fingers), le chant est hanté, notamment, par la figure de Nick Cave. Filiation maudite. Iceage travaille a même les émotions, en profondeur ou en surface, qu’importe, elles seront emportées.
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le 14 oct. 2014
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