déçu
Forcement on nous vend ça comme l'auteur de blacksad, alors on s'attend à aussi bien. Malheureusement le scénario n'est pas vraiment au rendez-vous. L'ambiance de cette communauté qui se désagrège...
Par
le 16 sept. 2012
2 j'aime
Nous rencontrons des problèmes techniques sur la partie musique du site. Nous faisons de notre possible pour corriger le souci au plus vite.
Nouvelle entrée: la guerre de sécession, et des déserteurs noirs.
Nouveaux enjeux en terme d’intégration: où l’on constate une fois de plus que la communauté Fraternity n’est pas le pays des bisounours.
On veut bien construire un nouveau monde, mais entre gens bien.
Il était déjà difficile d’accepter une femme, un enfant sauvage muet, une bête mystérieuse, comment penser que les nouveaux arrivants feraient exception?
Si la communauté est fondée sur des principes de neutralité par rapport au conflit politique, les vieux démons se réveillent, et plus que le monstre surnaturel, c’est le monstre qui habite les hommes qui devient le centre névralgique du récit.
Fraternity narre la décadence d’une société qui en voulant se construire ex nihilo retombe immanquablement dans les travers qu’elle a voulu fuir.
Un constat d’échec qui n’empêche pas les auteurs de nous quitter sur une lueur d’espoir, juste pour laisser penser que le destin de cette communauté n’est pas une fatalité.
Malgré son argument déprimant Fraternity reste une lecture agréable dont on aurait tort de se priver: elle a su créer une atmosphère et des thématiques qui rendent la lecture vivante et constitue un matériau de qualité.
Créée
le 1 déc. 2016
Critique lue 142 fois
D'autres avis sur Fraternity Livre 2/2
Forcement on nous vend ça comme l'auteur de blacksad, alors on s'attend à aussi bien. Malheureusement le scénario n'est pas vraiment au rendez-vous. L'ambiance de cette communauté qui se désagrège...
Par
le 16 sept. 2012
2 j'aime
[critique basée sur les deux tomes de Fraternity, non précisément le second tome] Les utopies - et les dystopies -, on le sait, sont des sujets de prédilection pour la littérature, et souvent aussi...
Par
le 22 oct. 2016
1 j'aime
Je recommanderais plus pour la qualité graphique et de colorisation que pour le scénario, qui ne m'a pas plus convaincu que ça, intéressant, mais insuffisamment développé. Les utopies perdues,...
Par
le 11 août 2013
1 j'aime
Du même critique
Voici un film qui illustre parfaitement une certaine idée du cinéma, celle qui permet à des orfèvres de s’emparer de sujets politiques difficiles, abscons et d’en donner une interprétation qui permet...
Par
le 24 oct. 2019
31 j'aime
Comme quoi c’est possible de faire une comédie qui force le trait sans tomber dans la danyboonite aigüe (une maladie de la même famille que la kev'adamsite ou la franckdubosquite). Karine Viard...
Par
le 14 sept. 2017
27 j'aime
9
François Damiens dans un film qui s’intitule “les cowboys”, où il incarne un père de famille fan de country dans les années 90. Voilà une base qui donne envie. Envie de fuir bien loin. Sauf que ça se...
Par
le 18 nov. 2015
24 j'aime
7