Le Diable amoureux et autres films jamais tournés par Méliès par Wayne
En 1928, Georges Méliès raconte à Jacques Prévert comment il est venu au cinéma... A travers sept récits fantastiques qu'aurait pu réaliser Méliès, Vehlmann et Duchazeau brossent un vibrant hommage au maître du rêve filmé. Oniriques, fantasmagoriques, inquiétants et troublants, ces contes au dessin charbonneux, et à l'ambiance début du XXe siècle (où se mêlent moulins, guinguettes, colonialisme, dames et prestidigitateurs) à mi-chemin entre Jules Verne et Edgar Allan Poe, n'auraient sûrement pas déplu au cinéaste magicien...