Critique de Paris, secteur soviètique - Jour J, tome 2

Ce tome prend place _comme il est de coutume dans cette série _ dans une réalité historique alternative. Cette fois, Paris est l'épicentre de la guerre froide, et à l'instar de Berlin dans notre réalité poste Seconde Guerre Mondiale, la ville lumière est divisée entre secteur soviétique et secteur sous domination américaine.
Cette bonne idée de départ qui pouvait ouvrir sur d'infinies possibilités scénaristiques débouche au final _et c'est là que le bât blesse _ sur une banale histoire d'espionnage "à l'ancienne". Le héros, un agent des services secret français, tante de faire passer ses agents infiltrés d'un côté ou de l'autre de Checkpoint Charlie. Un univers plein de possibles, au final assez peu exploité, et mis au profit d'une histoire somme toute sans surprise.
De beaux graphismes néanmoins et cela reste une très bonne série.

Alex_rainbow
6
Écrit par

Créée

le 7 avr. 2015

Critique lue 305 fois

1 j'aime

Critique lue 305 fois

1

D'autres avis sur Paris, secteur soviétique - Jour J, tome 2

Paris, secteur soviétique - Jour J, tome 2
Gatcha
6

Critique de Paris, secteur soviétique - Jour J, tome 2 par Gatcha

Alors que le monde se remet difficilement de la deuxième guerre mondiale, la France est toujours coupée en deux. Le débarquement en Normandie ayant échoué à cause d’une mauvaise météo, il a fallu...

le 31 août 2012

4 j'aime

Du même critique

The King's Man - Première Mission
Alex_rainbow
1

Une daube raciste et suprémaciste. A éviter à tout prix.

Le scénario est basé sur l'assassinat de l'archiduc d'Autriche François Ferdinand est le déclenchement de la 1er Guerre Mondiale.Donc pour faire court, autant dans le déclenchement de la guerre que...

le 9 janv. 2022

1 j'aime

DoggyBags, tome 3
Alex_rainbow
9

Cartels, feminicides, hyper violence et virilisme, bienvenue au Mexique!

Superbe doggybags, cette fois-ci tout entièrement consacré au thème du narco trafic mexicain. Volume d’autant plus dérangeant que l’ensemble des faits sont dépassés chaque jour par la réalité atroce...

le 12 nov. 2019

1 j'aime