Grosse fatigue.
3ème page : la méchante fait chanter un gentil, habillée avec une grande cape et un loup digne de la compagnie créole. Ha Ha HA HA Ha Ha ! Nan, sérieusement faut arrêter avec Largo Winch, maintenant.
Par
le 29 déc. 2010
3 j'aime
2
Bon, il y en a marre ! Marre de relire une fois de plus la même intrigue, avec les mêmes mécanismes, et le même déroulement : "Largo Winch", qu'on a adoré, ronronne et radote, au point qu'il est incompréhensible que Van Hamme n'ait pas la moindre véléité de renouveler sa série, qui ne manque pourtant pas de potentiel du fait de la pertinence de son sujet (le capitalisme peut-il être moral ? La seule aventure moderne est-elle celle de l'Argent ?) ! Dans ce registre, on notera quand même avec plaisir les tentatives - appliquées et scolaires, mais bon ! - de nourrir "Largo Winch" de la crise actuelle, tout en posant les bases (naïves, certes) de ce que pourrait être un capitalisme à visage social. [Critique écrite en 2010]
Créée
le 18 sept. 2014
Critique lue 290 fois
2 j'aime
1 commentaire
D'autres avis sur Mer Noire - Largo Winch, tome 17
3ème page : la méchante fait chanter un gentil, habillée avec une grande cape et un loup digne de la compagnie créole. Ha Ha HA HA Ha Ha ! Nan, sérieusement faut arrêter avec Largo Winch, maintenant.
Par
le 29 déc. 2010
3 j'aime
2
Bon, il y en a marre ! Marre de relire une fois de plus la même intrigue, avec les mêmes mécanismes, et le même déroulement : "Largo Winch", qu'on a adoré, ronronne et radote, au point qu'il est...
Par
le 18 sept. 2014
2 j'aime
1
Difficile de juger définitivement ce qui n'est que la première partie d'un dyptique, mais tous les éléments du cocktail Largo Winch sont là. Machinations visant à mettre Largo dans la peau d'un...
Par
le 15 nov. 2010
2 j'aime
Du même critique
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
204 j'aime
150
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
190 j'aime
104
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
185 j'aime
25