Nous rencontrons des problèmes techniques sur la partie musique du site. Nous faisons de notre possible pour corriger le souci au plus vite.
Très inspiré de l’univers de Lovecraft, Ragemoor est une BD sombre et inquiétante comme le genre l’exige. Les dessins en noir et blanc collent parfaitement à l’ambiance mais je trouve qu’ils sont assez inégaux en qualité. Les premières planches sont magnifiques mais malheureusement, tout n’est pas aussi réussi. L’ensemble est quand même très bien et plaira certainement à la plupart des lecteurs. L’histoire elle, recèle quelques bonnes idées mais je n’ai ni eu peur, ni été très marqué par celle-ci. Un album attirant au premier regard mais qui s’avère légèrement décevant au final.
Créée
le 16 août 2015
Critique lue 233 fois
2 j'aime
3 commentaires
D'autres avis sur Ragemoor
hypnotisant à souhait , Ragemoor a tout de l'horreur et de l'effroi que je pouvais éprouver à la lecture d'un bon Lovecraft. C'est marrant parcequ'hier je parlais de "Fatale" et de la capacité de...
le 27 juin 2014
3 j'aime
Un bon one-shot inédit en France de Richard Corben, illustrateur américain mythique. Les amateurs de fantastique/horreur à la Lovecraft peuvent y aller les yeux fermés !
Par
le 16 févr. 2014
3 j'aime
3
Découvert grâce à Sens Critique (merci !), Ragemoor est de mon avis moins une perle qu'une curiosité. On commence sur un superbe noir et blanc avant de toucher au vrai style de la bd, bien plus...
Par
le 21 juil. 2016
2 j'aime
Du même critique
Une parfaite évocation de la société anglaise des années trente avec les aristocrates d'un coté et les serviteurs de l'autre. Un monde fascinant fait d'hypocrisie, de mensonge et d'apparence. Alors...
Par
le 26 juil. 2011
20 j'aime
3
Encore une BD que je n'avais pas franchement envie de lire. Un sujet lourd et tellement exploité que malheureusement j'ai l'impression qu'on en a fait depuis longtemps le tour et qu'à part le devoir...
Par
le 16 juin 2012
12 j'aime
Un cow-boy solitaire débarque dans un bled perdu ou comme par hasard, les pauvres prospecteurs se font voler leurs concessions par un gros méchant. Alors le gentil cow-boy solitaire (même pas peur)...
Par
le 25 févr. 2011
11 j'aime
