On croit d'abord à une pub pour Décathlon, mais le montage sous speed et surcoloré se stoppe net. Aron, explorateur inconscient, est coincé dans le canyon. Son bras est écrasé par une roche. Commence alors une course contre la mort. Tout est possible jusqu'au point de non retour. Par cette adrénaline montante, on en apprend davantage sur ce personnage sans saveur. Flashback, délire, dégoût; tous les pastiches se suivent et se ressemblent. Dans le genre de huis-clos étouffant, Buried était bien plus efficace... Ou 127 heures aussitôt vues, aussitôt oubliées.