5
Crazy Clown Time
Le cinéma de Rob Zombie m’inspire le plus profond respect, un des rares réalisateurs de genre horrifique actuel sachant rester cohérent envers son univers en assumant sa démarche et ses références,...
le 19 sept. 2016
31 j'aime
5
L'agréable et décevante resucée !
Lors de sa campagne Crowdfunding, Rob Zombie nous promettait un film libéré de toutes contraintes des studios. Mais lors du visionnage, passé l'excellente introduction déjà maintes fois mentionnée, on regrette l'expérimentation de "La maison des mille morts", le lyrisme sauvage de "The Devil's Reject", la brutalité d'"Halloween", l'onirisme d'"Halloween 2", et le ... de The Lord of Salem (placez ici l'adjectif de votre choix... Moi je dirais "Audace").
Ne reste alors qu'une agréable resucée de son univers grotesque et cheap, mais la déception est grande !
3
Écrit par
Créée
le 29 sept. 2016
Critique lue 496 fois
D'autres avis sur 31
5
Rob s'offre son "Texas Chainsaw Massacre"
Sur ce coup nul doute que Rob Zombie s'est fait plaisir en revisitant à sa sauce le "Texas Chainsaw Massacre" de Tonton Hooper. Comme on pouvait l'attendre avec Robert, ça pue le sexe et la sueur,...
Par
le 21 sept. 2016
23 j'aime
4
6
The Show Must Go On.
Salut, certains m'appellent Doom-Head. J'utilise pas se pseudonyme en public mais je suis Dom-Head à leurs yeux. Aux yeux de Qui ? Une bande de mystérieuses personnes qui me donnent plein de grosses...
Par
le 23 janv. 2017
12 j'aime
6
Du même critique
5
Critique de Spartacus par Marco Icardi
-Tonight, romain's BLOOD will flow... !!! -shut up and go hunting ! -Ok, Tonight rabbit's BLOOD shall be flowing ! -Gratitude -I'll show you some gratitude ... WITH JUPITER'S COCK -Seriously mate, go...
Par
le 13 juin 2013
2 j'aime
8
Critique de Des putes pour Gloria par Marco Icardi
Après avoir écumé les bas fonds de San Francisco avec La famille Royale, Vollman revient au sujet de la prostitution avec Des putes pour Gloria. Plus qu'une réelle description de ce milieu, l'auteur...
Par
le 2 juin 2013
2 j'aime
1
8
"Plus je connais les hommes, plus j'aime mon chien"
Néo-western et polar roumain, le réalisateur joue avec les codes de ces genres à la manière des frères Coen, et particulièrement dans le traitement de la violence: brutal, grotesque, incongrue,...
Par
le 30 sept. 2016
1 j'aime
