4
Adieu
À vrai dire, je n'avais même pas envie d'écrire sur ce film, qui ne m'intéresse pas outre-mesure. Mais voyant une déferlante de critiques élogieuses, j'ai quand même eu envie d'apporter un...
Par
le 28 oct. 2017
108 j'aime
21
Depuis des mois que je l'attends, je me demandais comment Dupontel allait exprimer ces ressentis, ces sensations et encore, je n'avais pas pensé à toute l'esthétique de cette histoire, que ce soient les lieux, les costumes, les décors, tout est somptueux. Je comprends en voyant ce film que nous avons vécu cette histoire exactement de la même manière et j'en suis un peu fière. Courez-y, lisez le livre avant si vous pouvez, le film en est une parfaite illustration.
10
Écrit par
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 25 oct. 2017
Critique lue 267 fois
D'autres avis sur Au revoir là-haut
6
Les rentiers de la gloire
Il a toujours été délicat de catégoriser de manière précise le cinéma d’Albert Dupontel. Si la comédie domine, le grotesque y côtoie souvent les grincements de la satire, et le baroque formaliste s’y...
le 3 nov. 2017
97 j'aime
14
5
Les méchants sont pas gentils parce qu'ils sont très méchants
Les spectateurs français attendaient un film de ce genre depuis tellement longtemps qu’ils n’osent pas bouder leur plaisir : enfin un film ambitieux où les 17 millions d’euros de budget se voient à...
le 31 oct. 2017
79 j'aime
22
Du même critique
8
Extrait
"Un match de boxe, c'est comme un western. Il faut des bons et il faut des méchants." Plus tard, il formula son idée autrement: "Je suis le méchant -d'accord. Si c'est ce que les gens veulent penser,...
le 8 sept. 2018
1 j'aime
10
L'humour ne se démode pas tant que ça.
Quand on lit John Kennedy Toole, on se dit que l'humour, finalement, ne se démode pas et c'est un vrai plaisir de suivre les truculentes journées d'Ignatius, et de savourer cette syntaxe et ses...
le 9 juin 2018
10
D'excellentes idées
"Pour engourdir l'instinct de survie, il faut un cerveau tarabiscoté, abstrait, qui vibre aux grandes questions baroques et superflues de la philosophie - au regret de leur entourage, les crétins...
le 9 juin 2018
