le capitalisme qui s'octroie le luxe de faire son auto-critique selon ses propres termes, qui courbe et tord le discours porteur de sens pour en faire un gloubi boulga indigeste et grossier.
un cheval de troie mal déguisé qui se fait passer pour une œuvre engagée, irrévérencieuse et iconoclaste à coups de promo agressive mais qui se positionne très clairement dans la droite lignée de tout ce qui l'a constitué et précédé.
le seul commentaire qui est fait à la classe "homme" c'est: "eh parfois les mecs ils sont un peu beaufs hein".
visuellement naze, y avait pourtant de quoi faire un banger en reprenant l'esthétique plastique pink pop fake ; la réal est moche, y a aucune profondeur, les univers filmés paraissent hyper étroits (et pas que dans le monde de barbie parce que c'est encore pire dans les scènes qui se passent à los angeles mdr).
impossible de regarder cette deurms sans que la phrase "je déteste hollywood je déteste hollywood je déteste hollywood" ne résonne dans votre esprit, la prochaine fois que je voudrai ressentir ça je regarderai juste bojack horseman.
je suis sûr que marlène schiappa a adoré