6
6.5. Plutôt bon, mais
6.5. Fin, intelligent, beau. Plutôt bon dans l'ensemble mais quelques gros bémols: 1)La mère, relativement attachante, est pas facile à comprendre, une actrice qui articule mieux aurait été plus...
le 24 avr. 2016
1 j'aime
Une mère et une femme
Nous avons tous une mère et nous oublions souvent qu'elle est et a été une femme. Aussi. Cette idée parcourt D'une pierre deux coups, portrait faussement simple d'une vieille dame (remarquable Milouda Chaqiq) qui franchit pour la première fois les "frontières" de sa cité. Beaucoup de non dits dans cette histoire intime et en même temps familiale qui, sous prétexte que son héroïne est d'origine maghrébine, ne doit surtout pas être comparée à Fatima. Le film montre, et ce n'est pas la moindre de ses qualités, toute la diversité pouvant exister dans ce que l'on appelle trop facilement une communauté. En filigrane également apparaissent des nuances subtiles sur l'époque de la colonisation en Algérie. C'est la force du film de Fejria Deliba : rien n'est appuyé, les clichés sont absents et le caractère spontané des dialogues cache une écriture ronde et précise. C'est aussi sa faiblesse, d'une certaine façon, sa manière de laisser certains secrets dans l'ombre et sa relative brièveté laissent comme un petit goût de frustration.
6
Écrit par
Créée
le 10 déc. 2016
Critique lue 315 fois
1 j'aime
D'autres avis sur D'une pierre deux coups
2
D'une pierre, deux bouses (pardon pour ce jeu de mots)
Rebelote ! Festival Premiers Plans il y a 3 ans de cela, je découvre lors du cadre du festival Premiers Plans, le film français "Les Lendemains", le prix du public. Stupeur dans la salle, je...
le 31 janv. 2016
1 j'aime
5
Critique de D'une pierre deux coups par G. L.
Belle histoire mais plombée par une réalisation un peu confuse.
Par
le 27 avr. 2016
Du même critique
9
La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 27 mai 2022
76 j'aime
4
8
Triste et célèbre
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
75 j'aime
5
8
Du genre masculin
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
70 j'aime
13
