Excessivement laid... il n'y a pas d'autre mot !

Second long-métrage pour Dingo Pictures (coproduit avec un autre studio : Lui.tv), après l’exécrable Persée (1992), les revoici avec Die schönsten Geschichten vom Osterhasen (1992) que l’on pourrait traduire par "Les plus belles histoires du lapin de Pâques", un court-métrage d’une vingtaine de minute.

L’animation est toujours aussi exécrable, des calques d’animation qui donnent l’impression d’avoir été coloriés par des enfants dans une classe de maternelle. Immonde et sans le moindre talent, les lapins de Pâques ressemblent à des zombies.

A noter que les 20 premières minutes du film ont été réalisées à la main. Seules les trois dernières minutes du film ont été réalisées par ordinateurs (sauf les arrières plans) pour la séquence dite de "La chanson du lapin de Pâques". Quoi qu’il en soit, que le film ait été animé à la main ou par ordinateur, le résultat final n’en demeure pas moins excessivement laid.

Pour les plus masochistes d’entre vous, si le cœur vous en dit, ils ont un catalogue long comme le bras. On leur doit notamment pêle-mêle : Aladin et la lampe magique (1993), Le Roi Lion : Les Nouvelles Aventures (1994), Goldie: Le Prince de la Forêt (1994) : copie de Bambi, Les Aristos (1995) : pompé sur Les Aristochats, Pocahontas (1995), A la recherche des Dalmatiens (1997), Les musiciens municipaux de Bremen (1997) ou encore Le seigneur de la jungle (1999) : un ersatz de Tarzan.

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