John n'a plus un cent. Sidney, un homme d'un certain d'un âge, l'a repéré et le prend en charge. Il lui explique une combine pour gagner de l'argent facilement et sûrement au casino. Les sentiments et le milieu de la nuit vont venir interférer avec cette relation quasi-filiale qui s'est instauré.


Paul Thomas Anderson, qui signe ici son premier film, ne lésine pas sur le temps passer à brosser, à effeuiller ses personnages. Grand bien lui fasse, car ils constituent l'accroche majeure de Hard Eight, avec une mention spéciale à Philip Baker Hall qui incarne un Sidney sobre et dense. Le scénario hélas manque de nerf, le tension est peu ou prou inexistante, sauf la dernière partie, qui de façon heureuse redonne un coup de peps à l'ensemble.

Llywel
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le 1 mai 2014

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