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Drive
Passé une superbe introduction qui n'est pas sans rappeler le Drive de Winding Refn, Driver nous emmène entre braquage de banque, police et meurtre pour suivre un chauffeur aussi talentueux...
le 23 déc. 2016
29 j'aime
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Chauffeur, si t'es champion... (air connu)
Avant de faire naître la polémique avec le cultissime "The Warriors", de redéfinir le buddy-movie avec "48 heures" et d'enfanter un des survivals les plus puissants toute décennie confondue (le grandiose "Sans retour"), Walter Hill mettait en boîte cette sympathique série B qui allait fortement inspirer le jeu vidéo du même nom sorti sur PC et Playstation en 1999 et surtout le "Drive" de Nicola Winding Refn.
Comme dans le futur sleeper hit de Refn, on retrouve la même ambiance somnambulique, le même héros mutique, les mêmes décors urbains filmés majoritairement de nuit, Walter Hill créant ainsi un univers crasseux et tentaculaire qui atteindra son paroxysme dans son film suivant.
Faute d'un vrai budget, le film de Hill patine plus d'une fois dans la semoule, que ce soit dans son rythme casse-gueule, sa musique à peine digne d'un porno et son casting inégal (Bruce Dern est impeccable en flic tenace mais Ryan O'Neal et Isabelle Adjani sont tous les deux inexpressifs) mais compense ces faiblesses par une mise en scène sèche et par des scènes de poursuites diablement efficaces et old school, où les pneus crissent sur l'asphalte et les enjoliveurs se font la malle.
Comme dans le futur sleeper hit de Refn, on retrouve la même ambiance somnambulique, le même héros mutique, les mêmes décors urbains filmés majoritairement de nuit, Walter Hill créant ainsi un univers crasseux et tentaculaire qui atteindra son paroxysme dans son film suivant.
Faute d'un vrai budget, le film de Hill patine plus d'une fois dans la semoule, que ce soit dans son rythme casse-gueule, sa musique à peine digne d'un porno et son casting inégal (Bruce Dern est impeccable en flic tenace mais Ryan O'Neal et Isabelle Adjani sont tous les deux inexpressifs) mais compense ces faiblesses par une mise en scène sèche et par des scènes de poursuites diablement efficaces et old school, où les pneus crissent sur l'asphalte et les enjoliveurs se font la malle.
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Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Pourquoi cet oubli ?, 2013: année cinématographique., Les meilleurs films de Walter Hill, 1978. et Les meilleurs films de 1978
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le 27 avr. 2013
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1 commentaire
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