Ebola Syndrome
6.6
Ebola Syndrome

Film de Herman Yau (1996)

Voir le film

Monumental film chinois où le très mauvais goût côtoie le comique le plus crétin. Du déviant sur bobine totalement con qu'il serait aberrant de prendre au sérieux plus d'une demie seconde. L'inénarrable Anthony Wong est littéralement possédé par son personnage de psychopathe malpoli qui crache sur les gens pour les contaminer du virus Ebola et c'est encore une fois plié en 4 que j'ai visionné ce film taré.
BaNDiNi
9
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Les meilleurs films sanglants et Les films qui ont changé votre vie

Créée

le 14 mars 2011

Critique lue 360 fois

2 j'aime

BaNDiNi

Écrit par

Critique lue 360 fois

2

D'autres avis sur Ebola Syndrome

Ebola Syndrome
Zogarok
8

Monseigneur Ebola, le troll funeste

Dans le cinéma Hong-kongais, la catégorie 3 réunit les films dans lesquels tous les débordements sont permis. Cette classification correspond à l’interdiction aux moins de 16 ans en Occident. La...

le 21 mai 2014

11 j'aime

Ebola Syndrome
Boubakar
7

Un film pour toute la famille

Après avoir tué sa maitresse et son patron, un employé de restaurant hongkongais s'enfuit en Afrique du Sud, là aussi en tant que cuistot et payé au lance-pierres. Lors d'un voyage avec son nouveau...

le 12 juil. 2022

10 j'aime

Ebola Syndrome
Moizi
8

Bon appétit

Ouh... Il y a vraiment des tarés dans ce monde, autant The Untold Story pour ce que je m'en souviens faisait déjà assez fort, mais alors celui-là... Je peux me tromper, car mes souvenirs ne sont pas...

le 2 févr. 2016

10 j'aime

1

Du même critique

Sucker Punch
BaNDiNi
7

Le burlesque fétichisme d'un si joli feu d'artifice.

Sucker Punch, ou le cinéma feu d'artifice : émerveillé par l'explosion et le bruit des couleurs, la retombée des émotions se fait dans l'ombre alors que les yeux gourmands attendent déjà le prochain...

le 5 avr. 2011

24 j'aime

1

Lady Snowblood
BaNDiNi
8

La version féminine de Baby Cart.

Tiré d'un manga du même auteur, Kazuo Koike, Shurayuki Hime m'a littéralement défoncé l'entendement et mes yeux en ont bavé de joie. Film infernal racontant une des plus machiavéliques histoires de...

le 15 mars 2011

22 j'aime