8
Bonne baignade
Le couple le plus heureux de la terre décide de partir camper à la belle étoile dans un endroit magnifique que seul le mari connait, une sorte de surprise car ce dernier prévoit de demander sa belle...
Par
le 4 août 2010
36 j'aime
5
Eden Lake par Spoof
Ce petit film britannique s'est vite monté une bonne réputation chez les amateurs du genre.
Après visionnage, si le film n'est avant tout qu'un classique survival forestier, ce qui capte l'attention et permet à Eden Lake de survoler au-dessus de la moyenne de la plupart des métrages du genre, c'est surtout l'interprétation et la direction d'acteurs.
Notamment Jack O'Connell, incroyable de maturité et de justesse dans le rôle du meneur de la bande de jeunes tortionnaires. Rarement un si jeune acteur n'avait pu autant incarner la violence à l'état pur. Kelly Reilly surprend même de minutes en minutes au fur et à mesure que le scénario sombre dans le glauque, son jeu prenant de l'ampleur sans jamais tomber dans les clichés du genre.
Un très bon survival donc, sans concessions dans son traitement malgré un classicisme assumé. Surprenant même dans son traitement cru et réaliste d'une violence juvénile de plus en plus ordinaire et sans limite. Où les bourreaux ne sont finalement que les victimes d'une éducation parentale à la ramasse.
Après visionnage, si le film n'est avant tout qu'un classique survival forestier, ce qui capte l'attention et permet à Eden Lake de survoler au-dessus de la moyenne de la plupart des métrages du genre, c'est surtout l'interprétation et la direction d'acteurs.
Notamment Jack O'Connell, incroyable de maturité et de justesse dans le rôle du meneur de la bande de jeunes tortionnaires. Rarement un si jeune acteur n'avait pu autant incarner la violence à l'état pur. Kelly Reilly surprend même de minutes en minutes au fur et à mesure que le scénario sombre dans le glauque, son jeu prenant de l'ampleur sans jamais tomber dans les clichés du genre.
Un très bon survival donc, sans concessions dans son traitement malgré un classicisme assumé. Surprenant même dans son traitement cru et réaliste d'une violence juvénile de plus en plus ordinaire et sans limite. Où les bourreaux ne sont finalement que les victimes d'une éducation parentale à la ramasse.
7
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les enfants sont formidables et Les meilleurs films où le méchant est un enfant
Créée
le 5 mai 2010
Critique lue 833 fois
14 j'aime
D'autres avis sur Eden Lake
7
Children of the damned
J'ai pas eu de bol ces derniers temps! Je suis dans une phase films d'horreur, et je me suis dit que ça pourrait être bien de regarder autre chose que les classiques du genre que je n'avais pas...
Par
le 4 oct. 2012
34 j'aime
9
8
Un survival de haute tenue
Ultra-référencé, ce survival est un mélange étonnant se trimbalant aussi bien du côté de "La Dernière maison sur la gauche" (1) que de Haneke ou de Loach. Le malaise s'installe progressivement,...
Par
le 15 mai 2011
23 j'aime
4
Du même critique
9
Critique de L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford par Spoof
Rarement l'esthétique d'un western fut porté à une telle exigence. Avant toute chose, et c'est ce qui marque dès les premières minutes du film, « L'Assassinat de Jesse James... » est un film qui se...
Par
le 5 juin 2010
124 j'aime
10
9
Critique de L'Antre de la folie par Spoof
S'il ne fallait retenir qu'une poignée de films pour illustrer tout le génie de Big John en matière de cinématographie fantastique, L'antre de la folie trônerait sans aucun doute dans un mouchoir de...
Par
le 2 juil. 2010
86 j'aime
15
10
Into the wild
Un des plus beaux films de ces 10 dernières années. Au delà des paysages, de la musique de Vedder et du casting impeccable (mention spéciale à Hal Holbrook et Catherine Keener), c'est avant tout une...
Par
le 7 mars 2010
70 j'aime
4
