70 ans après le tournage : puissance émotionnelle intacte !

Très rapidement, on s'affranchit de l'ancienneté du tournage pour ne plus s'attacher qu'à la trame psychologique, tant Jacques Becker sait nous plonger dans les tourments de cet homme dont il révèle délicatement tout au long du film ce que l'on considère d'abord comme des travers avant de nous confronter à la profondeur de la détresse intérieure de cet homme et des ravages collatéraux qu'elle provoque.
Un film qui a conservé toute son intensité ! Oserais-je dire qu'il n'a pas pris une seule ride ?
Mon épouse (brésilienne) s'est étonnée, elle, de voir les parisiens circuler à vélo dans Paris....

Serge_Pierre
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le 24 juil. 2019

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