My God. I haven't been fucked like that since grade school.
Film vu deux fois et pas vraiment dans les mêmes conditions, donc deux expériences différentes et deux axes pour aimer le film. Allez ça c'est de l'intro sérieuse qui me donne du crédit ; si vous avez pas envie de lire la suite je m'en coupe une.
Part I : vu il y a deux ans sur un écran guère plus grand qu'une PSP et en VF, avec une mentalité de jeune adolescent qui kiffe quand ça bouge à l'écran et que le mec qui a fait le film il nous a trop ownés lol. Non franchement je parlais pas comme ça : j'arrivais pas à faire de phrases aussi longues.
Du coup j'y ai vu un film de baston sympa avec un twist qui twiste sa mère. Ça valait bien un 7.
Part II : revu il y a un mois sur grand écran, en VO, avec une mentalité de vieil adolescent qui cherche une nourriture spirituelle derrière le simple divertissement parce que ça fais plus intelligent. Non franchement je pense pas comme ça : c'est pas pour avoir l'air intelligent - ça je m'en cogne et je me fais plus trop d'illusions - c'est pour choper des meufs.
Du coup j'y ai vu un film à la contestation enflammée et un peu simpliste mais touchante par sa spontanéité, avec une esthétique assez kiffante.
Et Where is my mind à fond dans une grande salle ou qui grésille dans ta chambre, c'est pas exactement la même.