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Purgatory.
Sept ans après avoir terrorisé le monde entier avec son adaptation du best-seller de Stephen King, The Shining, Stanley Kubrick s'attèle à un autre genre, celui du film de guerre, qu'il avait déjà...
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le 5 janv. 2017
62 j'aime
7
"Pour causer, tu causes... et pour oser, tu oses ?"
Que dire ? Tout a déjà été dit finalement. La guerre vue comme une absurdité, une farce violente et grotesque. Kubrick est particulièrement méticuleux dans la reconstitution jusqu'à prendre le devenu cultissime Ronald Lee Ermey, ancien instructeur « marines », pour camper le Sergent d'instruction Hartman. L'audace du réalisateur le poussera même à laisser ce truculent personnage écrire lui-même son texte, soit quelques pages d'insultes devenues cultes et inspirées de ce qu' Ermey avait coutume de balancer réellement à la face de ses recrues. Si la première partie est culte, la seconde est glaçante de réalisme avec toujours une réflexion pointue sur les finalités de la guerre et l'impact sur les corps et les esprits de ceux qui la font, ainsi qu'une direction parfaite d'acteurs qui ne sont pourtant pas des noms ronflants d'Hollywood. Belle leçon de cinéma. Dans mon top 25.
10
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Créée
le 11 déc. 2013
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Joyeux anniversaire Jesus
Loin de moi l'idée de faire une critique digne des Cahiers Du Cinéma parce que c'est du Kubrick. D'abord j'en suis incapable (malgré des heures d'entrainement j'arrive toujours pas à péter plus haut...
le 24 juin 2011
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Fini les branlettes, à vos chaussettes.
Je ne peux pas écrire de critique sans citer le génialissime Sergent Hartman qui ferait pâlir de jalousie le Docteur Cox (Scrubs). Avec des répliques et des chansons inoubliables accompagnées d'un...
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Sympa mais pas révolutionnaire.
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