L'idée d'ajuster le slasher à la mode de la télé-réalité était pertinente (même après Slashers), se servir ostensiblement de l’outil internet aussi, mais emballer tout ça sous licence Halloween c'était risqué, surtout après la conclusion proposée par Halloween, 20 ans après.
Du coup le résultat est à l'avenant: dangereusement bateau, desservi par les personnages (en tant que cible d'American Pie à ce moment-là, décevant de voir Thomas Ian Nicholas aussi sous exploité) et l'humour, mais parfois curieux, comme lorsque le film s'aventure à un hommage au film Le Voyeur le temps d'un meurtre. C'est peu.