Lemarchand no fukushū wa hidoi pinchi ni taishite Saison 2 le retour de la destinée impossible

Alors tout commence avec une débauchée, qui n'est pas une débauchée, mais qui en réalité est reporter et doit enquêter sur une secte qui fait renaître des gens après les avoir tués.
donc pour commencer: deux choses
1 c'est bon c'est officiel on va rester sur des enquêtes, un vrai plaisir (Ironie Over9000)
2 tout, et je dis bien TOUT va se jouer sur le scénario parce que je vais vous expliquer pourquoi ce film n'est pas un bon film.


Bon alors ce qui saute aux yeux, et quand je dis saute aux yeux c'est que ça fait mal à la rétine (et aux tympans) c'est le jeu d'acteur est NUL, alors à savoir que quand je dis NUL je veux dire: exécrable, pitoyable, sans fonds, sans enjeux, aux émotions caricaturés, aux dialogues écrit par un enfant et surtout mais un doublage qui relève du DBZ québecois à ce Niveau..
C'est impressionnant mais il n'y a que Deux acteurs normaux, et quand je dis normaux c'est passables voir limite (je veux parler de Joey et du patron d'Amy) qui sont des amateurs face à l'excellent Doug Bradley qui nous offre comme toujours un jeu impeccable, des lignes excellentes et un ton parfait avec une gestuelle très fidèle à son personnage.
Sinon aucune personne, aucun échange, aucune ligne de dialogue, aucune émotion n'est réussi !!! c'est un exploit à ce niveau tellement tout est risible d'exagération ou de sérieux trop mal placé...


Du coup niveau réalisation c'est du classique et quand je dis classique c'est pour éviter de dire Banal puisque rien n'est extravagant mais rien n'est raté non plus on a juste une caméra qui décrit et pas une qui s'assume et c'est dommage.


Cependant niveau musique ça reste aussi insipide que dans les derniers opus, ce qui devient à contre cœur une marque de fabrique ces derniers temps? Aussi la luminosité à été beaucoup trop marquée et quand je dis beaucoup trop c'est que j'ai l'impression que le réalisateur nous met du sombre pour dire que c'est pas très catholique et c'est presque prendre à contre pied la marque des Hellraiser qui parle de corruption et pas de mal à sens propre du terme à savoir du "c'est pas bien".


Bref le film semble dénué d'intérêt puisqu'une fois de plus l'héroïne (aussi originale que ses prédécesseurs) décide d'ouvrir la boîte alors que cette fois on la prévient juste avant de ne PAS le faire en lui laissant supposer pourquoi. Du génie somme toute. Ce n'est qu'un exemple de la débilitée des personnages c'est un fleuve qui prend sa source dans l'océan de la trisomie, c'est incroyable...


Pour continuer dans la catégorie "Mais pourquoi il fait ça ? il est attardé ?" on a mon petit passage préféré à savoir une confrontation entre l'héroïne et le chef des Deaders (parce que Oui mesdames et messieurs, l'organisation des méchants qui ressuscitent leurs membres qu'ils ont tués, s'appellent les Deaders, voila c'est aussi pertinent que si les Cénobites s'appelaient les "gens blanc qui font mal")
et donc, le Chef des Deaders apparaît devant l'héroïne qui sait qu'il est plus puissant qu'elle, il décide de rajouter du challenge et de lui faire peur, pour ce faire il lui montre de quoi il est capable !
... il saute sur le voie ferrée pour se faire éclater par un train et puisqu'il n'est pas mort... ça veut dire qu'il est trop puissant de fou !


sérieusement ce n'est même pas la seule pépite que nous offre le film, je préfère vous les laisser découvrir même si très certainement je pense qu'il faudra redoubler de courage pour arriver à la fin de ce film...


Heureusement ça en vaut la peine ! pour une fois je dois dire que j'ai été surpris par la fin du film qui est innovante et à la fois bien recherchée pour l'univers d'Hellraiser à savoir que le chef des Deaders est un Lemarchand, descendant comme tout à chacun sait du créateur des Boîtes maudites d'Hellraiser. Comprenant le fonctionnement celles ci il peu extirper son pouvoir pour créer des écorchés qui cette fois si bien que possédant des pouvoirs ne sont pas privé de leur peau par des cénobites. Sans le savoir Lemarchand crée une armée indolore capable de combattre les cénobites...


Cela sera t il suffisant ?


Malheureusement non, puisque la douleur et la puissance des cénobites et du grand Pinhead sont bien plus puissantes qu'il n'y parait, réduisant les deaders en chair à canon. Lemarchand est alors Puni pour sa perversion (futile) de la boîte et biensur comme tout mauvais cliché de fin, le gentil gagne par un pouvoir du scénario qui fait crier un énorme "noooooooooooon" au méchant et tout est bien qui finit bien ?


Tout ? non puisque l'Héroïne meurt, chose assez inintéressante pour être relevé et bien sur ce que je trouve le plus réussi dans ce film, la boîte est montrée à la télévision et elle devient connu puisque nous savons que son passage sur le petit écran ne peut mener qu'à des conséquences plus dévastatrices pour le monde des hommes.


Alors du coups qu'est ce que j'ai pensé de ce film, c'est un long métrage initéressant dans la forme aux articulations douteuses mais comme tous les bossus et les malformés il est capable de mots doux. La résolution, les cénobites, et l'ouverture que cela à laissé dans la sage me présage un très bon tournant et je suis à nouveau fier de l'envol que prend la série car cette fois ci le plus dur à été fait: se démarquer proposer de l'innovant, du bien fait, une bonne idée qui respecte l'univers et le spectateur.


Pour conclure je finirai sur une maxime qui devrait être reconnu pour ce film je pense: ce n'est pas un bon film... mais c'est un bon Hellraiser.

LeRoiDePeste
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le 22 sept. 2018

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LeRoiDePeste

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