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Par rapport à d'autres franchises à succès du cinéma d'horreur, la saga Hellraiser fait figure de petit poucet. Malgré ses dix films officiels, ses centaines de romans, bandes dessinées et autres fan fictions s'appuyant sur sa mythologie, cette série est toujours restée dans l'ombre de ses glorieux aînés tels que Vendredi 13, Nightmare on Elm Street ou Halloween pour ne citer que les plus éminents d'entre-eux.


Pourquoi donc? Probablement car les films Hellraiser sont des productions très sérieuses et peu exagérées dans ce qu'elles racontent. Avec un ton caractéristique, sombre et violent et surtout un discours très premier degré, sans aucune pointe d'ironie ou d'humour. Oui, Hellraiser est une franchise à l'aspect rebutant, mais qui recèle tout de même quelques trésors cachés, la créativité de Clive Barker s'y exprime avec une belle conviction, incarnée par une imagerie de cauchemar graphique saisissante, et finalement peu commune dans un genre aussi lourdement codifié. Là où le slasher incarne le sportif populaire du monde de l'horreur, Hellraiser prend le rôle de l'étudiant d'art pince-sans-rire, passionné et préférant rester chez lui à lire de la poésie moderne.


Même lorsque son ambition dépasse son budget, ce qui est souvent le cas, Hellraiser essaie toujours de raconter quelque chose à travers une forme d'art occulte englobant chacun des films de sa franchise. En cherchant activement à aliéner le spectateur occasionnel, principalement de par l'utilisation d'effets gores tellement extrêmes et transgressifs qu'ils franchissent parfois allégrement la limite de l'absurde, à la manière de ces actes abominables qui ne se matérialisent que dans nos cauchemars, mais qu'il est bien souvent impossible de décrire de façon logique. Cela se traduit ici par un spectacle sanglant, où le moindre détail morbide se révèle anatomiquement correct. Il s'agit finalement d'un lieu commun, tout comme les fameuses chaînes crochetées, véritables symboles de la saga, utilisées ici pour déchirer la chair des écorchés dans un processus affectueusement appelé "chaining". Les effets spéciaux ainsi que les maquillages se révèlent être les véritables points forts de ces films, même lorsque la qualité globale diminue et que les budgets se voient réduits, le gore se voit graduellement remplacé par la nudité, qui n'est finalement, comme un homme sage l'a dit un jour, que l'effet spécial le moins cher du cinéma.


Le sous-texte sexuel des films amène par ailleurs un lien évident avec le sadomasochisme, qui se révèle être une trope sous-culturelle judicieusement utilisée la plupart du temps, apparaissant à des moments bien précis de l'intrigue, secondant aisément les mutilations grotesques infligées aux personnages par Pinhead et ses collègues Cenobites. Pinhead est un personnage intéressant dans sa construction, bien qu'il semble dans un premier temps obsédé uniquement par la douleur indissociable du plaisir, on se rend vite compte que ce qu'il aime véritablement c'est le fait de donner des discours; Des discours pompeux et professoraux parfaitement adaptés au révérend satanique qu'il incarne (son surnom de Pape de l'Enfer n'est pas usurpé), et qui sonnent toujours juste, jusqu'au moment où un protagoniste ne finisse par résoudre le puzzle qui le renverra définitivement en enfer.


Le fait d'être un personnage plus détaillé que Michael Myers et plus sérieux que Freddy Krueger a ses avantages, et tout au long de la série, le chef des Cenobites verra son caractère évoluer, du pur antihéros conflictuel jusqu'au demi-dieu vengeur et omnipotent. La relation particulière qu'il entretient avec l'héroïne Kirsty Cotton se révèle d'ailleurs être un précieux outil de définition de caractère. Cette complexité dans sa personnalité se reflète également dans les règles auxquelles les Cenobites se soumettent, ce qui permet une approche globale un peu plus poussée que la sempiternelle mécanique du slasher "scène de sexe = mort". Les Cenobites apparaissent uniquement lorsqu'ils sont appelés, et ils ne sont appelés que par des personnes ayant connu chaque sensation terrestre et désirant tenter une expérience inédite et dangereuse. Cela s'exprime dans les films de la série Hellraiser par un rapport au sexe totalement décomplexé, mais se révélant de plus en plus superflu au fur et à mesure que la saga progresse dans ses chapitres.


La complexité morale ainsi que le développement des différents caractères se révèle par ailleurs largement incohérente passé le cap des 3 premiers opus. Hellraiser a toujours été une production à petit budget, et ses moyens n'ont cessé de diminuer d'épisode en épisode, tout comme sa qualité générale. Visionner l'ensemble de la franchise Hellraiser est une expérience douloureuse, et malheureusement pas de la manière à laquelle on pourrait s'attendre. En regardant le premier Hellraiser, sorti en 1987, on pourrait être en droit de se demander si Clive Barker était en phase avec les années 80, ou si les années 80 étaient en phase avec lui, dans les deux cas, cela fonctionne. Barker est un auteur fasciné par la luxure et les images sensuelles, utilisées dans le contexte de ces films, ses visions contrastent fortement avec une imagerie pour la plupart du temps horrible et cauchemardesque. La touche britannique apportée par l'auteur parachève d'ailleurs l'aspect unique de la franchise, malgré la tentative à peine masquée des producteurs d'américaniser les films au maximum, allant jusqu'à renommer plusieurs personnages tout en spécifiant aux acteurs de jouer avec un accent aussi américain que possible.


Hellraiser est l'une de ces rares idées capables d'engendrer un nombre infini d'histoires, de personnages et de styles de narration. Malheureusement, la plupart des films de cette franchise ont bénéficié d'un budget réduit, et d'une distribution quelconque, mais la saga est tout de même parvenue à s'installer comme un incontournable de l'horreur, engendrant au passage une collection de films aujourd'hui constituée de dix chapitres, dont nous allons commencer l’analyse avec le premier épisode, en commençant de suite par un petit détour du côté de son synopsis:


Dans la froideur d'une maison de banlieue londonienne, Frank Cotton (Sean Chapman), un homme lassé des sensations terrestres et souhaitant découvrir une nouvelle forme de plaisir, résout le mystère d'une étrange boîte contenant un puzzle chinois et entre par conséquent dans un monde de cruauté exquise dirigé par les Cenobites, des êtres sadiques avec un penchant certain pour l'écorchement et l’éviscération. Plus tard, ramené à la vie sous une forme cadavérique grâce à une intervention de son frère Larry (Andrew Robinson), Frank va forcer sa belle-sœur, Julia (Clare Higgins), à lui amener des victimes dans le but de se régénérer. Mais les Cenobites ne tarderont pas à se rendre compte de la résurrection de Frank, et du triangle infernal dans lequel les trois protagonistes se sont engagés...


Hellraiser, premier film écrit et réalisé par Clive Barker, basé sur son roman "The Hellbound Heart", est un film tordu, horrifiant et surtout, différent. Il instaure d'emblée une atmosphère suffocante amplifiée par des visuels impressionnants, qui détonent dans une véritable réaction en chaîne dont l'intensité ne cesse d'augmenter progressivement tout au long du métrage. Ses fondements sont plutôt simples: L'histoire est basée sur l'existence d'un mystérieux casse-tête, qui, une fois résolu, invoque des créatures démoniaques, les fameux Cenobites, dirigés par l'emblématique Pinhead, ces êtres apparaissent dans un seul but: Déchirer votre âme et votre chair. Alors que certaines personnes les invoquent par ignorance, beaucoup choisissent d'utiliser la boîte sciemment, dans une tentative d'expérimenter la sensualité de la douleur absolue. Ce film fournit une perspective intéressante sur l'horreur utilisée comme un moyen d'expression des sentiments extrêmes de l'humain; Comme si quelque chose en nous s'opposait perpétuellement à une forme de désir inavouable. Il s'agit, dans sa lecture la plus primaire, d'une histoire dévastatrice, puissante et diaboliquement intelligente.


Hellraiser parle en effet de démons de l'enfer qui tentent de réclamer une âme humaine, mais la plupart du temps, le film se concentrera plutôt sur l'âme en question et ses envies, ses désirs et ses tentatives de devenir "humain" à nouveau. Cette confusion permanente entre horreur pure et philosophie contribue à faire de ce film un classique à part dans le monde du cinéma horrifique.


Hellraiser fait partie de ces œuvres qui ont réussi à créer une nouvelle façon de s'approprier son propre genre, repoussant les limites de ce que l'on peut attendre d'un film d'horreur. Cette réussite artistique transformera cependant ce film en une victime de son propre succès. Son influence dans le monde de l'horreur a fini par engendrer des dizaines d'imitations au fil des ans. Il est certainement difficile de se rendre compte aujourd'hui de la nouveauté que représentait ce film à l'époque, sorti en plein milieu d’une période très importante dans l’histoire du cinéma horrifique, avec ses effets spéciaux impressionnants, son contenu et ses thèmes matures, mais aussi son casting, donnant le rôle central à une femme de 32 ans précédemment connue uniquement pour son travail dans des séries TV.


Hellraiser est étrange et intrigant dans la façon dont il se développe. Dans ce film, la narration prend un malin plaisir à prendre le public de court à de nombreuses reprises, et à entraîner la confusion par rapport à ce qui se passe réellement devant nos yeux. Cela peut faire penser à une sorte de mélange de nombreuses tropes horrifiques, jetées les unes sur les autres et brassées ensemble pour accoucher au final d'un film d'horreur hors des standards, présentant peu de scènes réellement destinées à effrayer, et où la peur tient un rôle finalement très passif.


Il s'agit cependant d'un excellent exemple de conception visuelle horrifique. L'utilisation notable d'effets pratiques à l'ancienne rendent ce film très attrayant. Du graphisme très léché de l'introduction du récit jusqu'à la conception des différentes créatures qui le peupleront. Bien entendu, le design le plus emblématique reste celui des Cenobites eux-mêmes, notamment celui du célèbre Pinhead, qui se révèle finalement être le seul personnage réellement "effrayant" du film, là où ses congénères démoniaques ont plutôt été pensés comme des créatures à l'aspect dégoûtant. Les séquences montrant Frank tentant de se reconstituer présentent quelques-uns des meilleurs effets spéciaux de l'époque et conservent leur pouvoir visuel aujourd'hui encore. Il est également plaisant de voir de véritables animaux dressés dans des scènes horrifiques, le genre de parti-pris ambitieux qui trahit toutefois l'aspect général de bricolage de cette production au budget très faible.


Malgré ce que suggère son marketing, il s’agit clairement d’un film de personnages, Hellraiser est littéralement porté par la performance de Clare Higgins en particulier. Elle est au cœur de presque toutes les scènes importantes, piégée par la caméra comme son personnage, Julia, qui se retrouve prise au piège de ses pulsions. Son mari, Larry, est déterminé à transformer l'ancienne maison de son frère, Frank, en un lieu heureux pour eux-mêmes et leur fille, Kirsty. Une maison dans laquelle des événements étranges se sont récemment produits.


Le spectateur est rapidement informé de ce qui s'est passé en ces lieux. Une série de photographies et de flash-backs détaillent l'histoire d'amour entre Frank et Julia, ajoutant au sentiment général de claustrophobie alors que nous commençons à comprendre à quel point il était difficile pour elle d'exprimer sa sexualité. Les images de domination et de soumission émanant de ces scènes étaient audacieuses pour l'époque (et ont posé un très gros dilemme parmi les censeurs) particulièrement lorsqu'elles se voient combinées avec des plans sur les mains de Julia saisissant soudainement ses draps de satin blanc, ce qui représente une métaphore de l'orgasme tout droit héritée de Dynasty.


La culpabilité de Julia est marquée visuellement par des éclaboussures rouges présentes sur l'ensemble des objets en rapport avec son univers, et sa vie de femme de la classe moyenne, ce thème se retrouve au cœur de l'histoire du film et reflète les multiples formes de culpabilité d'une société qui traversait à l'époque une transition difficile par rapport à la libération de la sexualité féminine. Higgins apporte une fragilité et une anxiété à son personnage qui la rend beaucoup plus complexe que la plupart des héroïnes d'horreur contemporaines. Andrew Robinson est très bon dans le rôle de son mari, d'abord distant, mais révélant sa vraie nature lorsque les événements l'exigent. Sean Chapman, jouant la version pré-transformée de Frank, livre une performance étrange, peu convaincante au premier abord mais ayant son utilité par la suite. Finalement, le seul personnage réellement en retrait se révèle être celui de Kirsty, jouée par Ashley Laurence, qui n'a pas l'espace nécessaire pour se livrer autant qu'elle le pourrait et manque par conséquent cruellement de personnalité. Cependant, son rôle d'héroïne traditionnelle, la fameuse "Teenager Screamer" est plutôt intelligemment intégré dans le récit, avec une volonté claire de saper les ambiguïtés morales inquiétantes du triangle relationnel des adultes. Et comment ne pas parler du personnage le plus emblématique de la série? Second couteau bien connu du cinéma américain, Doug Bradley développe quand à lui une présence réelle dans le rôle de Pinhead, le chef des Cenobites. Aujourd'hui dans le panthéon des méchants emblématiques du film d'horreur, Pinhead est un personnage définitivement culte par bien des aspects. La rareté de ses apparitions leur confèrent une puissance dévastatrice. Son design est tellement choquant et instantanément effrayant qu'on pourrait le placer sans soucis à la hauteur de personnages tels que Freddie Kruger ou Jason Voorhees. Son charisme puissant explique également la décision d'en faire la figure de proue du marketing de cette franchise d'horreur, bien qu'il ne soit pas nécessairement le personnage le plus important des films en eux-mêmes.


Si Hellraiser est un film dur de par son visuel, il l’est également de par son scénario. Ce dernier fonctionne notamment grâce aux caractères bien définis auxquels il s'intéresse, comme une femme infidèle ou un mari inconscient et désirant simplement s'initier à une nouvelle forme de plaisir. C’est un film honnête dans le sens où ses personnages sont tous des gens que l'on pourrait probablement rencontrer dans la rue sans le savoir. Par opposition à ces caractères humains, les Cenobites paraissent totalement farfelus, mais c'est ce qui rend l'écriture de Clive Barker tellement efficace. Le film nous présente une dichotomie impressionnante entre réalité et fantaisie, brouillant les pistes à tel point qu'il est parfois difficile de savoir où se situe la limite entre la folie et la raison. Julia et Frank ont beau commettre des actes horribles, ils font ce qu'ils font par amour. Les Cenobites, de leur côté, ne semblent pas entravés de barrières morales, leurs actes ne sont pas le moins du monde motivés par une quelconque haine; En réalité, il s'agit des seuls personnages du film qui ne font pas l'objet d'un prétexte. Ils font simplement ce que leur travail leur demande de faire, soit apparaître lorsque la boîte s'ouvre pour emporter l'âme de la personne ayant résolu le puzzle.


Le scénario de ce film souffre cependant de l'inexpérience de Barker dans le monde du cinéma, ainsi que d'un montage plutôt maladroit dans l'ensemble, avec de nombreuses transitions excessivement abruptes, mais on ressent tout de même un talent naturel derrière la caméra. Barker met en scène certaines séquences impressionnantes, notamment autour de l'escalier central de la maison, ce qui permet une utilisation intelligente de la géométrie. Il développe également une variation très efficace de la palette de couleurs, agréable sans être trop évidente, ce qui contribue à établir le concept de mondes interconnectés, concept qui se retrouvera être la pierre angulaire de l'ensemble de cette saga.


Clive Barker a clairement frappé un grand coup avec Hellraiser, surtout lorsqu'on se rend compte qu'il s'agit de sa première réalisation, il est notamment parvenu à transposer son roman en film sans recourir à des dispositifs artificiels ou superflus pour capter l'attention du public. Bien entendu, on notera ici et là quelques scènes qui ne semblent pas avoir leur place dans l'ensemble, comme les séquences oniriques de Kirsty, quelque peu étranges et dont les intentions sont difficilement déchiffrables. Néanmoins, le film parvient sans peine à happer le spectateur dans son monde et à garder son intérêt durant la totalité de son déroulement scénaristique.


Dans l'ensemble, Hellraiser reste un classique de l'horreur des années 80, un film difficilement appréciable, de par son mélange désordonné de différentes tropes horrifiques, auxquelles on peut ajouter certains visuels étranges, bien que très inspirés, l'ensemble de ces différents éléments accouche au final d'un film qui tente clairement de rompre avec son époque, pour notre plus grand plaisir!


Bien qu'il ne soit plus aujourd'hui un film susceptible de choquer réellement le public, Hellraiser reste un sacré morceau de cinéma horrifique, et son importance dans l'histoire du film d'horreur ne fait aucun doute. Il s'agit d'une œuvre qui a non seulement contribué à révolutionner son genre et obligé les critiques traditionnels à accepter que le cinéma horrifique puisse posséder un réel poids artistique, mais a également réussi à capturer l'essence d'une époque bien précise, où les mœurs sociales et sexuelles se déplaçaient de manière fascinante. En somme, un film qui a compté, qui compte encore à l'heure actuelle, et le fera certainement encore dans le futur.

Schwitz
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le 13 mai 2017

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