Il étais une fois, en Anatolie, un voyage au coeur de l'espace et du temps. Au beau milieu des steppes Anatoliennes, une équipe policière tente de retrouver un corps, aidé par le meurtrier à l'origine du cadavre. Mais ça, on le sait que petit à petit. Tout au long de la nuit, Nuri Bilge Ceylan livre un chef d'oeuvre. Il a une extrême maîtrise du cadre, des plans longs, magnifiques, contemplatifs. Mais la beauté vient surtout de la lumière. Incroyable ! Les phares des voitures reflétant l'infini des couleurs des terres turcs. Une coupure d'électricité, et une flamme révèle la plus belle des femmes. La lumière est tout simplement magnifique, c'en est à pleurer !
Alors pourquoi 7/10 ? Le cinéaste perd trois étoiles avec sa deuxième partie diurne qui aurait tout bonnement dû être allégée voire supprimée.

Pour la première partie, un grand prix mérité !
JimAriz
7
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le 19 nov. 2011

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