Michel désire suivre les traces paternelles en tant que policier et incarcérer un influent criminel.
Vers le début, Roger Morzini feuillette un magazine montrant Alain Delon, Jean-Paul Belmondo et celui qui prêtera ses traits au personnage : Gérard Depardieu, c’est une somptueuse mise en abyme. Tout est exacerbé : la candeur de l’inspecteur, sa balourdise, jusqu’aux cris perçants dignes d’un goret émis par Coluche. Je la remarque peu souvent, mais cette fois-ci, c’est le cas, je veux parler de la musique débonnaire de Vladimir Cosma. Néanmoins, la scène où l’ennemi public numéro un ne s’autorise pas à faire du mal à des handicapés fait quelque peu perdre en crédibilité.
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Créée
le 22 janv. 2024
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