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Ma critique complète sur mon blog : The Killers of the Flower Moon » de Martin Scorsese : le dilemme de la durée dans le cinéma moderne !


Martin Scorsese est, sans contestation, l’une des pierres angulaires du Nouvel Hollywood (cette période entre la fin des années 60 et le début des années 80 ou les réalisateurs indépendants étaient les rois du monde aux USA) et l’un des plus grands cinéastes aussi bien à son époque qu’à l’heure actuelle. C’est exemple de productivité, aussi bien sur le petit écran avec les pilotes de Boardwalk Empire et Vinyle qu’à travers des documentaires tel que The Last Waltz, ou encore et surtout au cinéma avec des titres devenus des influences tel que Les Affranchis, Raging Bull, Taxi Driver, Casino, Shutter Island ou encore Le Loup de Wall Street plus récemment.


Jusqu’à récemment, la reconnaissance a toujours été un minimum de mise pour le réalisateur italo-américain et sa filmographie comporte bien moult traces de sa vie. A tel point que son propos est très simple à discerner pour un public lambda, et profondément enrichissant pour les cinéphiles : aussi bien son rapport à la religion via des films comme La Dernière Tentation du Christ, Silence ou Kundun que l’ascension des hommes dans le milieu criminel avant qu’ils ne soient rattrapés par leurs travers, leur époque et face à la loi. Même ses films plus « grand public » comme Hugo Cabret ont eu droit à un minimum de reconnaissance en dépit de leurs imperfections.


En ce qui me concerne, je n’ai que du respect et de l’intérêt pour sa filmographie. Devant lequel je prends un plaisir toujours plus fort à chaque redécouverte, que ça soit avec un Blu-Ray ou lors d’une rediffusion au cinéma comme Casino l’année passée. Son soin du détail dans le mouvement, sa direction minutieuse du plateau et du cadre, ses héros ambivalents, son recul sur certains sujets et ses tentatives pour sortir de ses sentiers battus sont des arguments de poids pour dire à quel point j’ai de l’admiration et du respect pour son travail. Et aussi pourquoi Shutter Island, Casino et Les Affranchis sont parmi mes 100 films préférés.


Il y aurait beaucoup à dire sur sa carrière, sur ses films, sur ses collaborations et ses collaborateurs régulier comme Howard Shore à la musique, Robert De Niro et Harvey Keitel selon l’époque sans oublier Léonardo Dicaprio, mais revenons au film qui nous intéresse puisque Killers of the Flower Moon est d’abord un roman relatant un fait très sombre de l’histoire des USA. Écrit par David Grann, elle relate comment la nation osage, une nation indienne, est devenue ironiquement riche après avoir été chassée de ses terres jusqu’en Oklahoma où se trouvait un gisement de pétrole sur lesquels ils ont fait fortune.


Manque de pot, cela a entraîné les convoitises chez l’homme blanc et une série de meurtres macabres entre 1920 et 1925 s’est ensuivi. Et quand Dicaprio a lu le roman, il a rapidement acheté les droits d’adaptation avant de se tourner vers Martin Scorsese, sorti de son tournage sur Silence afin de lui proposer de concrétiser ce projet. Ce qui tombait bien puisque Scorsese a toujours rêvé de faire un western dans sa carrière et son choix s’est porté sur ce récit. De plus, il a été suivi de près par le chef actuel des indiens osages, Geoffrey Standing Bear, qui craignait le point de vue d’un homme extérieur sur cette affaire.


Bien évidemment, il a fallu attendre 2021 (crise sanitaire mondiale oblige) pour que le tournage débute en Oklahoma. Un tournage qui aura quand même près d’une quarantaine de rôle tenus par des indiens osages, si on ne compte pas les figurants. Le destin a voulu qu’il soit présenté en avant-première au festival de Cannes cette année, les sites américains agrégateurs et de critiques professionnelles en fond déjà les éloges, mais qu’en est-il au final ?


La première chose qui se remarque et, je pense, sur laquelle la plupart des cinéphiles seront d’accord: c’est qu’on est bien dans un film à la Scorsese dans le sens ou l’attention au détail et le sens de la minutie sont objet courant. Les collaborateurs de Scorsese répondent présent, notamment le chef opérateur Rodrigo Pietro déjà à l’œuvre sur The Irishman, Le loup de Wall Street et Silence, et qui donne un grain crépusculaire à ce western moderne tant par ses lumières chaudes de jour que par son jeu d’éclairage lors des scènes nocturnes. Ou encore Thelma Schoonmaker, monteuse de longue date de Scorsese très adroite ici comme à son habitude pour gérer l’enchaînement et les transitions entre les sous-intrigues et les expositions (dans la forme en tout cas mais on y reviendra), on constate vite qu’on est loin d’avoir un manche aux commandes de ce western/polar.


Sans compter que Martin Scorsese, même après 80 années de vie sur Terre, reste encore à ce jour un virtuose de la caméra et du mouvement en plus de donner littéralement vie à chacune des scènes de foules, d’intérieurs ou de groupe entre ses travellings fluides, ses mouvements sans contraintes et ses vues aériens au service de la fameuse règle du « Show, don’t Tell » : à titre d’exemple, Scorsese délaisse la voix-off de ses héros et opte pour des pancartes dignes des films en noir et blanc des débuts du cinéma pour donner l’essentiel, et il laisse ses plans faire le reste. Quand tu vois les hommes arriver par dizaines voire par centaines chaque jour par train, tu saisis que l’avarice et l’appât du gain fait loi en Oklahoma. Quand tu vois les nombreux gisements de pétrole, tu saisis l’immense et incommensurable richesse sur laquelle les indiens foulent leur pied. Lorsque la caméra se promènent dans la maison de Molly et sa famille un jour de repas à plusieurs, Scorsese va fureter partout y compris du côté des rôles secondaires ou tertiaires et ajouter une petite tranche de vie


(la mère et sa vision de la Chouette venu lui rendre visite et annoncer sa mort prochaine).


De nombreuses qualités formelles indéniable, surtout de la part d’un cinéaste privilégiant les décors réels. 90% du film se déroulant en Oklahoma (sous le regard du chef indien osage Geoffrey Standing Bear) en plus de faire la part belle à une brutalité moins présence à l’écran que dans un Casino, ou un Les Affranchis. Moins présente physiquement mais pas aseptisé pour un sou et intervenant toujours là ou il faut pour mettre le spectateur en état d’alerte, quand Scorsese ne se contente pas de laisser les traces des méfaits accomplis hors-champ (les cas de meurtres sans enquête évoqué par Molly en début de film, l’état déplorable dans laquelle on retrouve ses sœurs chacune assassinés).


Là ou le film apporte un peu d’innovation chez un cinéaste déjà riche de plusieurs décennies de carrière, c’est dans son protagoniste principal, Ernest Burkhart bien loin d’un fasciné de mafia comme Henry Hill ou aussi délétère moralement qu’un Jordan Belfort. Ce dernier se révélant être beaucoup plus benêt et manipulable que ses aînés filmiques et au rôle de petit soldat au service de son oncle qui est, par contre, un véritable mafieux calculateur et aux valeurs familiales ambivalent. C’est d’ailleurs lui qui va constituer le véritable capitaine de ces assassinats d’indiens.


Là-dessus, le film pratique un jeu d’équilibriste très compliqué en matière de caractérisation. Même en sachant qu’il suit un schéma similaire à pas mal de réalisation de Martin Scorsese, son cadre comme ses deux protagonistes principaux ne sont clairement pas identique : Ernest étant un indécis dont la fidélité à son oncle et ses sentiments pour son épouse indienne le rend plus ambiguë que jamais, tiraillé pendant tout les deuxième et troisième acte dans ses choix et se montrant même très gauche dans sa manière de déléguer le travail. Et en matière de performance : Léonardo Dicaprio (doublé par Damien Witecka en VF) se pose là avec une nuance de jeu incroyable tout à son honneur. Parce qu’incarner un personnage naïf et constamment tiraillé mais impliqué dans les actes les plus crasseux possible, ça demande une justesse de jeu dans le regard et les expressions que peu de comédiens peuvent se targuer d’avoir. Dicaprio est de ceux-là et si il est dans mon top acteur préféré, ça n’est pas sans raison.


Mais alors que dire lorsque dans le même temps, on le confronte à un monstre du septième art comme Robert De Niro, incarnant la valeur patriarcale et mafieuse de ce film ? Avec, cela dit, un calme et un statut de marionnettiste ombrageux qui lui sied superbement et lui permet de se distinguer de ses figures précédentes comme Jimmy Conway, Sam Rothstein, ou encore Frank Sheeran dans The Irishman. Deux monstres ayant chacun marqué, à leur façon, les années 90 mais dont le face à face, la personnalité et la chimie portent une grande partie du film au cours de leurs nombreuses exactions et qui réussissent encore maintenant à donner de la variété à leur palette de jeu. C’est simple, quand William Hale parle et qu’il se donne savamment le bon rôle en public, qu’il échange avec son neveu afin qu’il reste à sa botte et le voit comme le phare dans la nuit en cas de pépin, on sait d’ores et déjà que rien de bon ne viendra de sa part dans les faits.


J’en profite pour rajouter que le passage de flambeau au doublage entre Jacques Frantz (l’ex-voix attitrée de De Niro à la VF) qui nous a quitté, et Pierre Arditi imposé par Scorsese lui-même, se passe plus que bien à défaut de nous faire oublier un des légendes de notre doublage français. Cela dit, Martin Scorsese ne s’en tient pas qu’à eux pour parler de ces assassinats et de ces complots, il nous fera également vivre cet enfer par le regard de Molly, l’indienne osage qu’épousera Ernest en début de film et campé par une empathique, digne mais également vulnérable Lily Gladstone (actrice aux origines indiennes) par qui nous sera introduit les premiers cas d’assassinats dévoilés à l’écran ainsi que le bâclage des très rares enquêtes effectuées.


Ce qui est plus que logique, puisqu’au-delà des échos que pourraient avoir ce film avec d’autres réalisations de Scorsese, c’est surtout la réappropriation des richesses d’une tribu indienne martyrisée et maltraitée parmi tant d’autres qui fait l’objet de ces conspirations. Ça plus la civilisation qui remplace toujours plus les coutumes et traditions des générations osages passées, en témoigne la place dominante des Indiens en début de film sur de nombreux commerces au sein de la ville ou se déroule l’intrigue et par la suite l’enquête du BOI (pas encore appelé le FBI à ce moment-là). Réappropriation de terres offertes à des indigènes qu’on a chassée de leur propre territoire, organisation mafieuse dans un cadre de western, mélange de race, influence familiale toxique, autant dire qu’avec ce trio de personnages, ça en fait déjà un film très chargé en propos et en sujet traité sur plus de 3 heures.


Donc on a un casting de rêve, des partenaires fiables de longue date et un sujet aussi sombre que riche, mais du coup : pourquoi est-ce que je ne me suis jamais senti pleinement investi pendant ma séance ? Quand je suis ressortie de la salle de cinéma, j’étais dans un scepticisme inédit pour un film de Scorsese (pas le même que Silence en 2017 à qui je veux redonner sa chance prochainement) ou j’avais la sensation d’en savoir trop sur le gars et son cinéma. D’être hanté par le spectre de certains de ses films à la structure de forme trop similaire, plus particulièrement Les Affranchis, Le Loup de Wall Street ou encore Casino… mais avec un contrôle narratif moindre par rapport à ses précédents travaux.


D’abord, et c’est très rare pour que je le soulève : Killers of the Flower Moon… est LOOOOOOOONG ! Mais vraiment trop long, déjà avec The Irishman j’étais à la limite de ce que j’arrivais à tolérer et plus le fais que le public moderne (même chez les cinéphiles) n’est pas habitué aux films de plus de 3 heures, ça ne jouera pas en la faveur du dernier né de Scorsese. Sauf que là, le réalisateur a beaucoup plus de mal à justifier le temps accordé à toutes les sous-intrigues et les épisodes de magouilles et de crimes orchestrés par Ernest et Will Hale au sein de la communauté osage.


Killers of the Flower Moon, j’accepte encore sa première heure qui est déjà pas mal chargé en matière d’introduction. Mais dés qu’on s’occupe des assassinats un par un,


comme Bill Smith et l’une des sœurs de Molly à qui il est marié ou encore John l’ami osage mélancolique de Will, et qu’on les cumulent ensuite aux sous-intrigues comme le traitement du diabète de Molly et la communauté des opportunistes et hommes douteux proches de Will,


sans oublier des séquences de dialogues là encore étirés (parfois de manière plus justifié que d’autres), j’ai vraiment trouvé que ça traînait excessivement au point d’en perdre la qualité principale des films de Scorsese : sa fluidité de narration avec laquelle il réussit habituellement à immerger son spectateur.


L’autre gros problème qui en ressort, à force d’étirer et de rallonger de très nombreuses séquences, c’est qu’on finit par s’en détacher et par se sentir très souvent extériorisé de ce qui se passe à l’écran. Vouloir donner du temps à une sous-intrigue pour que cette dernière ait un impact sur le fil rouge de l’œuvre quel qu’il soit, je veux bien. Le souci, c’est que là j’avais parfois l’impression d’être devant une quête de PNJ trop rallongé qui prenait une place trop forte dans le cœur du projet


(comme les orchestrations dans l’ombre de Wil pour faire éliminer les témoins gênants avec les venues des fédéraux de grandes villes, ou bien les scènes d’empoisonnement de Molly à l’insuline chargé d’un poison censée la tuer à petit feu).


Parfois l’exploitation du temps fonctionne très bien dans le cas présent


(la réaction de détresse extrême de Molly quand on lui révèle la mort d’une de ses sœurs dans l’explosion d’une maison ; la tristesse de Will et Ernest quand on leur révèle un décès dans la famille)


et il y a même des scénettes vraiment belle ou j’y ai trouvé une réelle poésie


(le départ de la mère de Molly morte de vieillesse mais en paix).


Mais à côté il faut faire le tri entre les scènes d’enquêtes ou de complots rallongés à tel point que cette durée finit par se ressentir… et quand on ressent la durée d’un film pendant un visionnage, ça n’est jamais bon signe.


Cela en revient à évoquer la question de la durée des films au cinéma et sur un constat tout bête : plus long ne veut pas dire automatiquement meilleur. Tout comme plus court ne veut pas dire forcément moins bien, gérer la durée d’un film pour conter une histoire a toujours été un exercice ardu et complexe pour les créatifs et les scénaristes. La question est déjà légitime à poser avec les films du MCU avec la manière dont la durée peut être exploité de manière très artificielle (coucou Endgames) ainsi que pour les films d’animation Disney qui peinent encore maintenant à aller au-delà de 1h30/1h40 de film sans compter les crédits car on jugent que les enfants n’auront pas une intention suffisante pour des films plus long. Cette question, elle peut également s’appliquer au cas par cas pour les films d’auteurs comme ceux de Denis Villeneuve, Steven Spielberg, Damien Chazelle, James Gray ou, justement Martin Scorsese car énormément de facteurs rentrent inévitablement en compte pour donner des impressions très diverses chez le public.


Le sujet, le réalisateur, la manière de traiter ses thématiques et ses personnages, le cadre, tout cela entre dans la balance pour la durée. Et je pense que c’est de ce côté-là que Killers of the Flower Moon a été un obstacle pour entrer pleinement dedans : la maltraitance des indiens et la conquête de l’Amérique sous diverses formes, à la base… ben c’est surtout Il était une fois les Amériques qui m’a bercé en VHS (je sais, cette référence a ses limites) et j’ai pas eu suffisamment de cours au lycée sur les peuples indiens pour en savoir large. Du coup je n’ai pas vraiment eu la possibilité de développer une fascination ou un intérêt qui m’auraient permis de passer les reproches que je fais actuellement au film. Et pourtant on en a eu des films longs cette année.


Babylon et son évolution du cinéma avec ses pours et ses contres et ses stars victimes du changement, pas de souci, j’ai surkiffé. Spider-Man Across the Spider-Verse, c’était d’une jouissance sans précédente et un rêve de voir un film d’animation américain de plus de 2 heures depuis un bail, Dieu que ça faisait du bien. The Fabelmans et ses 2h30 ? Pas de problème, une autobiographie de Spielberg, rien que le nom ça fait rêver et j’ai une foi sans faille en lui. Mais Martin Scorsese, bien que j’ai eu des soucis avec la durée par le passé sur quelques-uns de ses films, le cas de son dernier né ne soulève qu’un peu plus le problème de vouloir faire plus long si on n’a pas forcément une matière suffisante pour tenir.


Alors attention, ça reste un point de vue individuelle. J’imagine que pour ceux qui ont plus de connaissances ou de curiosité que moi sur le sujet, ça ne posera pas le moindre souci. Et comme avec bien des films, je n’exclus pas de revoir ce film à la hausse si je devais le revoir d’ici quelques années voire une seconde fois au cinéma cette année… mais là, malgré toutes ses qualités de formes et ses stars monstrueuses, et l’aura incroyable de son auteur, pas sûr que je puisse accorder une place au panthéon de la filmographie de Martin Scorsese. Néanmoins, on pourra lui reconnaître une vraie longévité et application au fil de sa carrière même avec des films plus perfectibles, et ça, c’est plus que respectable.

Maxime_T__Freslon
7

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le 19 oct. 2023

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