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Venice Bitch
Audacieux croisement entre Idiana Jones et Les dents de la Mer, Shark in Venice nous entraîne sur les pas d'un professeur d'archéologie qui par rechercher son père disparu en plongée à Venise. Film...
Par
le 14 juin 2011
4 j'aime
Laisse les gogols à Venise...
C'est même pas drôle...
Car j'avoue, en voyant le titre "Shark in Venice" (oui oui, Venise la ville des amoureux, les gondoles, tout ça...) je m'attendais forcément à une daube, mais je pensais une pure daube, vraie de vraie, à se taper la cuisse pendant 1h30 ! Mais en fait... non.
Pourtant tout est foireux, les effets spéciaux sont immondes, les plans incrustés en fond de Venise, en boucle, avec les mêmes passants que l'on voit 3 fois en une minute (bon, ça, c'est un peu drôle), même Stephen Baldwin avec son visage tout bouffi m'a laissé de marbre... (sa présence aura au moins le mérite de nous occuper l'esprit 10 minutes à base de "Stephen c'est lequel ? Celui de Sliver ? Non... ça c'est William... Et dans Usual suspects, c'est lui ou Alec ?... Arf ils ont tous la même tête... Bon wikipedia!" )... Rien je vous dis !
Cette heure vingt passe très lentement, j'ai du sourire une fois ou deux devant les dialogues affligeants et le fait que le seul italien sensé "typique" du film ressemble plus à un homme de cro-magnon mexicain...
En fait, la chose la plus drôle c'est encore de dire à vos amis "Tiens, récemment j'ai vu un film avec des requins à Venise"...
Car j'avoue, en voyant le titre "Shark in Venice" (oui oui, Venise la ville des amoureux, les gondoles, tout ça...) je m'attendais forcément à une daube, mais je pensais une pure daube, vraie de vraie, à se taper la cuisse pendant 1h30 ! Mais en fait... non.
Pourtant tout est foireux, les effets spéciaux sont immondes, les plans incrustés en fond de Venise, en boucle, avec les mêmes passants que l'on voit 3 fois en une minute (bon, ça, c'est un peu drôle), même Stephen Baldwin avec son visage tout bouffi m'a laissé de marbre... (sa présence aura au moins le mérite de nous occuper l'esprit 10 minutes à base de "Stephen c'est lequel ? Celui de Sliver ? Non... ça c'est William... Et dans Usual suspects, c'est lui ou Alec ?... Arf ils ont tous la même tête... Bon wikipedia!" )... Rien je vous dis !
Cette heure vingt passe très lentement, j'ai du sourire une fois ou deux devant les dialogues affligeants et le fait que le seul italien sensé "typique" du film ressemble plus à un homme de cro-magnon mexicain...
En fait, la chose la plus drôle c'est encore de dire à vos amis "Tiens, récemment j'ai vu un film avec des requins à Venise"...
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Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Tu aimes les animaux ? Très bien. Mais eux ne nous aiment pas...
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le 8 janv. 2013
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11 commentaires
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