L’argument de L’empire d’une passion tient dans la mise en scène d’un triangle amoureux dont l'un des deux membres masculins, l'époux légitime, est assassiné par les deux autres protagonistes du trio. Nagisa Ôshima procède ensuite à une méthodique et progressive descente vers la folie des deux meurtriers.
Ce film est moins charnel mais plus psychologique que son très célèbre aîné : L’empire des sens (1976). La narration et la progression de celle-ci est ainsi moins assurée. Le couple central s’avère au final plus naïf que diabolique. Lire la critique complète.