À ma connaissance le seul film où l'usage de la pornographie (qui n'en est plus forcément, disons plutôt : des scènes de sexe non simulées) est justifié. Oshima revisite un fait divers troublant pour rendre palpable l'enivrement de la passion sexuelle et les limites des jeux de soumission physiques et psychologiques qui l'accompagnent souvent.
Gaor
8
Écrit par

Créée

le 19 mai 2010

Critique lue 799 fois

14 j'aime

Gaor

Écrit par

Critique lue 799 fois

14

D'autres avis sur L'Empire des sens

L'Empire des sens
Grard-Rocher
8

Critique de L'Empire des sens par Gérard Rocher La Fête de l'Art

Critique remaniée le 12 octobre 2021. C'est en 1936 à Tokyo qu'une ancienne et jolie geisha, Sada, officie comme serveuse de restaurant dans un établissement des beaux quartiers de la capitale. Entre...

39 j'aime

7

L'Empire des sens
Star-Lord09
6

Le Cinéma ne pense qu'à ça !

Mais bon Dieu que fait ce film dans les années 70 ? Alors oui, certains diront que le Ciné des années '70 est celui de la maturité etc etc... Pourtant, nous, pauvres cinéphiles perdus dans les...

33 j'aime

32

L'Empire des sens
Deleuze
6

De bien étranges trophées...

"L'Empire des sens" est l'œuvre du bizarre. Très peu enthousiasmé avant le visionnage à cause de la réputation quasi "pornographique" (tendance aux gros plans intimes) dont on m'avait fait part,...

le 17 avr. 2013

33 j'aime

8

Du même critique

Funny Games
Gaor
10

Vous n'auriez pas des oeufs ? C'est pour la voisine.

Ce film ne peut se regarder sans un décryptage. Car lorsqu'on a compris qu'Haneke joue avec ton rapport à l'image, ton incapacité à t'en extraire et sa facilité à te choquer, faire de toi une...

Par

le 19 mai 2010

62 j'aime

5

Super Mario 64
Gaor
10

Naissance d'une dimension

Comme c'est un peu chiant de redire ce que tout le monde a déjà dit en mieux ou ce que tout le monde sait déjà, je vais la jouer ego-trip typiquement Web post 2003. Autant dire que ça va être...

Par

le 27 mai 2010

48 j'aime

1

La Ligne verte
Gaor
1

Critique de La Ligne verte par Gaor

Je hais ce film, t'as pas idée. C'est du vomi sur pellicule. Du dégueulis de bons sentiments, plus prévisibles que la prévisibilité, plus formatés que le formatage, plus binaires que la binarité...

Par

le 5 mai 2010

37 j'aime

13