Jamais sans mon fils.
Feo Aladag, jeune actrice autrichienne, nous livre ici son premier film. S'attaquant au style combat de femme dans un milieu ethnique oriental, elle ne commence pas sa carrière de réalisatrice avec...
le 19 avr. 2011
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Vraiment, je ne comprend absolument pas l’intérêt de ce genre de film, il ne se passe absolument rien pendant deux heure, jusqu'aux moment où, où, où......... OH MON DIEU, ILS ONT TUÉS KENNY, BANDE D'ENFOIRÉS !!!!!!
Là, je vois pas du tout pourquoi je devrais adoré ce film, sous prétexte que on se fais chié tout le long et qu'on tue le gosse à la fin pour donner du sens au film. Non mais sérieux , il faut ne rien y comprendre pour adoré ça et pleuré comme un mouton à la fin . En plus, tout ce truc caricaturale du statue de la femme chez les musulmans du style : "oui on est encore au temps de Molière", et bien barre toi plus loin que la Turquie ou l'Allemagne, regarde, c'est beau le Spitsberg. De ce que je retient de ce film, c'est l'on t'e prend pour un con tout le long, avec Feo Aladag qui regarde l'ensemble de tout ça en fumant sa clope de marque je suis trop intelligente pour çà ! un mot à tout cette imbécillité:
Honte.
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Créée
le 4 juil. 2016
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