Le mouvement, c'est la vie
Les scènes obligées sont assez belles, comme d'ailleurs tout le film, et s'intègre bien au récit, bien. Il faut voir Naomi Tani bouger et s'abandonner pour saisir pourquoi elle est devenue une égérie...
Par
le 18 nov. 2020
L’actrice dans un groupe de réalisateurs de films pornos tombe enceinte et ne souhaite plus tourner de films le temps d’accoucher.
Sur le début, ça commençait bien : on est sur la question du consentement qui est respecté. Le tout est très bien filmé en extérieur. Par ailleurs ça m’a rappelé Blow Out de Palma car ils enregistrent des sons pour leurs films érotiques à travers des bruits de la nature.
Par contre, là où ça se corse très sévèrement, c’est quand ils doivent chercher une remplaçante. Une des personnes du groupe enregistre en secret une patiente dans un cabinet dentaire qui couche avec son dentiste. Il va la faire chanter, la harceler pendant des jours jusqu’à la pousser au suicide (mais il ira la « sauver »). Après de nombreuses négociations, elle finira par accepter de venir chez lui pour qu’il lui parle d’un projet de film, qui se révélera être pornographqiue. Elle sera dans un premier temps outrée puis excitée et acceptera finalement de coucher et jouir avec son harceleur...
Mais bon ça ne s’arrête pas là. L’équipe de tournage se cachait dans un placard, sort la caméra et les éclairages pour immortaliser la scène. La femme refusera catégoriquement, puis finira par capituler suite à des menaces violentes. Enfin elle tombera amoureuse de cet homme et deviendra actrice porno.
Bref, c’est assez odieux à regarder et je ne comprends pas le message derrière...
Créée
le 14 nov. 2020
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