LA BELLE OCCASION (4) (Isild Le Besco, FRA, 2017, 79min) :
Très maladroite chronique initiatique sexuelle familiale en milieu forain, une mise en scène morne, une narration libre et chiante, des interprétations assez confuses et des situations pour le moins gênantes. Du cosmos du départ à la chair, le vide de sens est rempli de saynètes bancales aux dialogues parfois métaphysiques sans substances. Un rendez-vous manqué. Cela transforme ce long métrage en "La belle occasion" de se taire, heureusement la qualité du film réside dans sa courte durée, la purge est déjà assez prégnante. Conceptuel. Narcissique. Intrigant. Ennuyeux.