Pourrions-nous ne pas aimer un film qui se termine avec une chanson d’Arno?
Peut-être existe t-il...
Mais pas celui-ci.
Un bijou de tendresse, un foyer de folie, un hymne à tous les amours.
Bien sûr, ça dégouline de tous les côtés, mais est-ce que l’amour qui ne déborde pas est de l’amour?
Tout du moins au cinéma...
Et puis, il y a Agnès Jaoui, magnifiquement excessive, qui déverse sur son fils, sur des inconnus et sur nous, spectateurs, ce trop plein d’amour d’une mère juive qui fugue pour revoir sa mère et son fils.
J’ai essayé de ne pas aimer ce film tellement sentimental, je n’ai pas réussi.