Oui il y a une belle liberté, oui il y a une belle scène d’ouverture et oui il y a une belle musique (utilisé avec les pieds mais bon…), une photo a tomber mais ça me semble être un peu léger. C’est peut-être la première fois dans ma (courte) carrière de cinéphile que je me retrouve devant un film adulé et que je ne comprends pas pourquoi, c’est assez frustrant, je cherche (je cherche) mais je ne trouve pas ce qu’il a de si particulier ce Mépris. Est-ce la présence de Jack Palance, de Fritz Lang, de BB à moitié nue ? Je n’ose y croire. Ce que raconte en soi Le Mépris pourrait m’emporter si Godard se faisait plus souple ou plus radical. C’est mon troisième JLG et pour l’instant aucun ne m’ennuient mais aucun ne me passionne non plus, mon « préféré » étant Le petit soldat je me demande si je ne trouverai pas mon bonheur dans ses films plus politiques et radicaux. A voir.