Y-a-t-il un Almodovar dans l'avion ?
Almodovar qui enchaîne depuis le début du XXIème siècle des grands films sort aujourd'hui l'une des comédies les plus déplorable depuis longtemps.
Le film commence par un gag ridicule avec les valises qui tombent sur un ouvrier. C'est pas drôle, même le hors-champs marche pas. Et cela va continuer ainsi. Les personnages aussi grotesques qui soient enchaînent les citations grossières, excentrique, loufoques et vides. Le sexe est le thème dominant de ce film. Même si Almodovar essaye de mettre en place une vision de la société espagnole, cela ne marche pas. Le film se perd et s'enfonce de plus en plus dans le ridicule ce qui le rend totalement navrant. Le spectateur reste sidérer devant ce lot de conneries invraisemblables avec des stewarts gays qui ont font toujours trop. Et cela devient vite lassant. Bite, sperme, sodomie, pipe, voilà les mots les plus récurrents dans ce nanar grotesque servi par un soit-disant Almodovar. Mais quel honte de sa part. Où est passé le réalisateur de Volver, Etreintes Brisées ou encore La Piel que Habito ? Où il est ?
Compte rendu de cette "merde" déconcertante, Almodovar se fout littéralement de la gueule du spectateur. Devant cette sottise, le spectateur attend que le générique dans l'espoir de voir marquer: POISSON D'AVRIL. En espérant que c'était une mauvaise passe et que Almodovar reviendra.