Les Nouveaux Sauvages est une bombe. Nous assumons cette entrée en matière un peu simpliste, parce que quand c'en est, il faut le reconnaître. Question d'éthique.


Véritable carton au box-office argentin, premier film à sketchs sélectionné à Cannes depuis Le Sens de la vie des Monty Python en 1983, perle d'humour noir encre et hommage brillant à Dino Risi et ses films Les Monstres et Les Nouveaux Monstres, cet objet filmique non identifié réalisé par l'inconnu Damián Szifron est la première vraie porte d'entrée du grand cinéma en cette prometteuse année 2015 – depuis sa sortie, seuls les excellents Foxcatcher et Birdman ont été capables de l'égaler. L'auteur de ces lignes l'a conseillé à ses amis, à ses parents, à sa nièce, à sa tante d'Italie, à son homologue de Bretagne, à sa gardienne portugaise (clichés ou pas, elles existent bel et bien, laissez les vivre en paix). Pourtant, il ne conseille jamais un film à tant de gens d'horizons différents. Peut-être parce qu'un film à sketches réussi est ce qu'il y a de plus fédérateur ? En six segments, six histoires aussi courtes que cathartiques, les Nouveaux Sauvages couvre quasiment l'ensemble du spectre social de l'Argentine contemporaine, unifiant les classes autour du même sujet : le craquage de plomb, pur et simple. Quand la soupape de sécurité établie par l'éducation ne suffit plus, quand les conventions sociales perdent le contrôle sur nos âmes et ne peuvent les empêcher de sauter au fond du précipice, quand le Ça prend le pas sur le surmoi… quand le slip craque de lui-même, sans demander son avis à personne. Femmes et hommes, au sommet de la pyramide ou tout en bas, de sept à soixante-dix-sept ans, personne n'est à l'abri ; personne n'est à l'abri, parce qu'à différents degrés, tout le monde se retient, et tout le monde le sait. Parce qu'à l'exception de la minorité marginale, tout le monde joue le jeu. Parce que tel est le prix à payer pour assurer la perpétuation de ce vivrensemble qui obsède tant nos politiques – l'invoquant à une cadence croissante à mesure que la situation se dégrade. En six chroniques de craquages de plombs annoncés, d'une qualité inégale mais dont la moins réussie reste hautement divertissante, unies par une surprenante cohérence esthétique et spirituelle, Szifron emballe son audience et s'impose comme un metteur en scène à suivre.


Pour une fois que la structure du film y invite, procédons par ordre d'enchaînement. Au menu : en entrée, une variante aérienne et meurtrière de La Croisière s'amuse et un peu de mort aux rats ; en plat principal, un duel à mort entre deux abrutis qui traumatisera un peu l'audience et un acte terroriste auquel on a tous, un jour, rêvé ; et en dessert, une petite comédie de corruption cordiale et un gâteau de mariage un peu salopé mais chef-d'oeuvrissimesque (new mot).


Commençons logiquement par le prologue, Pasternak, ou une ouverture qui, en un temps très court, annonce la couleur, ou plutôt toutes les couleurs du film à venir : spectateurs, spectatrices, les deux prochaines heures seront délicieusement féroces et férocement absurdes ; vous frôlerez par instants la mort par hilarité et ne cesserez jamais vraiment de ricaner nerveusement ; enfin, vous ne parviendrez pas toujours à vous débarrasser de l'effroi glacial que certaines situations vous inspireront, conscients qu'elles pourraient se produire dans la réalité de votre monde – exactement, même celle de Pasternak, nom d'un frappadingue qui s'arrange pour réunir dans un avion tous les gens contre qui il a une dent, pirater l'avion en question, s'enfermer dans la cabine de pilotage, et jouer les kamikaze sans autre forme de procès. Et vous allez vous éclatez. Mention au dernier plan, long et fixe, dans lequel un couple de petits vieux, assis tranquillement dans leur jardin, aperçoivent au loin l'avion qui leur fonce droit dessus, et se contentent de l'observer, incrédules, jusqu'à ce mémorable arrêt sur image survenant la microseconde avant impact. Là aussi, tout le film est résumé. 8/10.


Après cette entrée en matière vient Las Ratas, littéralement "les rats". Du burlesque coloré, on passe à une atmosphère nocturne un peu pourrie, dans un resto routier paumé au milieu de nulle part et martelé par une pluie d'enfer, cadre idéal d'un drame bien poisseux. Si le récit se base sur une trame de vengeance assez classique (une serveuse reconnaissant l'ordure qui a poussé son père au suicide et rêvant de lui faire mordre la poussière), Las Ratas se distingue par un élément caractéristique des Nouveaux Sauvages : en l'occurrence, le personnage de la vieille serveuse, ancienne taularde tellement pas à sa place à l'air libre qu'elle voit dans la soif de vengeance de l'héroïne une parfaite occasion d'être renvoyée à la zonzon. Sa figure fripée comme un chiffon de cuisine et grave comme une crise cardiaque, le naturel avec lequel elle suggère son plan meurtrier, et la réaction ahurie de la jeune serveuse qui se trouve vite dépassée, réservent quelques beaux moments de comédie. Maintenant, Las Ratas est sans aucun doute le maillon faible des Nouveaux Sauvages : la conclusion est prévisible, et l'histoire n'a pas vraiment d'objet. Comme suggéré plus haut, être le maillon faible ne signifie pas qu'on est faible. Simplement, Las Ratas pâlira de la comparaison avec les segments qui suivront, à tel point que certains oublieront d'en parler, une fois sortis du cinéma. De ce point de vue, Szifron l'a situé au meilleur endroit possible : il arrive alors que le spectateur est encore sous le coup des réjouissances précédentes, qu'il ne sait pas à quoi s'attendre, et n'est donc pas encore très exigeant – la réception aurait été bien moins clémente s'il avait été choisi en segment de fin ! 6.5/10.


On disait plus haut que certains oublient jusqu'à l'existence de Las Ratas. Contribue un peu à cet effet El más fuerte, "le plus fort", qui surgit de l'asphalte brûlant et fait immédiatement oublier son arrière-goût mimolette. On comprend aisément que ce soit le sketch préféré de pas mal de monde : après une entrée en matière étonnamment tout public, et une histoire de mort aux rats pas particulièrement traumatisante, El más fuerte, avec son duel à mort entre deux automobilistes abrutis, rassure enfin ceux qui étaient en train de se dire "c'est bien, tout ça, mais ils sont où, déjà, les sauvages ?". D'entrée de jeu, on sait que ça va saigner : la musique est trop planante, le relief argentin trop grisant, la voiture du personnage principal trop luxueuse, tout est trop beau pour ne pas être souillé. Et on a raison : avec ce troisième segment affreux, bête et méchant, Szifron envoie la purée, pleine de nerfs, rouge, inflammable, scatologique, et outre la bourgeoise comme il se doit. On aime le décor désertique, qui se prête parfaitement à l'idée du duel, et l'atmosphère, rappelant les classiques Duel (justement) de Spielberg et The Hitcher de Robert Harmon. On aime l'escalade de violence, un peu flippante parce qu'à la fois cartoonesque (voir l'étripage complètement grotesque à la fin) et tout à fait réaliste tant les gros cons sont monnaie courante.


Bien sûr, le côté lutte des classes ne nous échappe pas, ce funeste malentendu partant de l'opposition gros bourrin de prolétaire dans son épave roulante/classe supérieure BCBG à blue tooth dans sa BM toute neuve ; mais elle n'est, en soi, pas très importante. Ce qui importe, c'est la précision de l'instant où survient le fameux craquage de plomb, dénominateur commun à toutes les histoires du film. Et sur ce plan, le gros bourrin qui défonce le pare-brise du cadre supérieur est tout à fait secondaire : le nouveau sauvage, c'est ce dernier, dès l'instant où, alors qu'il était sorti d'affaire, il sort de son personnage, vire au rouge, et décide de repartir à la charge. Parce qu'on en a parfois marre, des gros cons, surtout quand ils sont en prolifération. Bien sûr, cela implique qu'il s'abaisse à son niveau. Alors, à la fin, El más fuerte se résume à deux abrutis s'entretuant parce que l'univers les emmerde, et le ridicule de leurs dernières empoignades, à l'intérieur de la voiture en flammes, nous donne justement l'impression d'être à la place de l'univers appréciant de loin le ridicule de leurs haines dérisoires. Et c'est ce qui rend le spectacle aussi réjouissant : comme dans une cour de récréation, il n'y a pas vraiment de pourquoi, juste des pulsions… et rien ne parle plus à l'homme le plus distingué du monde que la nudité honteuse d'une pulsion. Face à cette réalité, que reste-t-il à faire ? Ben, à se marrer. Mention à la dernière réplique du segment, hilarante ("alors, inspecteur, qu'est-ce que vous en pensez ? Crime passionnel ?")… 9/10.


En plus d'être un peu le sketch-star des Nouveaux Sauvages grâce à la présence de la superstar Ricardo Darin (révélé au monde par le film Dans ses yeux), Bombita est peut-être celui qui reste le plus en mémoire, parce qu'il est celui qui parle le plus aux gens. Exit le massacre burlesque et surréaliste qui a précédé, place à une satire à peine exagérée des dysfonctionnements quotidiens de nos sociétés dites civilisées. Insistons sur l'"à peine exagéré" : de nombreux témoignages soutiendront force détails horripilants avoir vécu des situations semblables, jusqu'à cette accablante histoire de marquage effacé sur le sol. Mais même sans aller jusque là, tout parlera à quiconque a déjà eu affaire aux petits agents du système, certainement pas à leur poste par vocation passionnée ou noble sens du bien commun. On a tous contemplé, au moins une fois, le regard de poisson mort de ces employés se limitant à appliquer machinalement le règlement plutôt que de faire l'effort d'apprécier chaque cas individuel. On a tous ressenti au moins une fois l'envie, plus ou moins forte, de leur envoyer des baffes. C'est ce qui fait la force et l'efficacité de Bombita : son protagoniste principal est celui auquel on s’identifie le plus, faisant, dans ce cadre tristement familier, ce que beaucoup d'entre nous rêveraient de faire, s'ils en avaient les cojones, s'ils n'avaient pas tant à perdre, etc. Le film ne suggère pas de raser gratis dans un grand délire anarchiste ; il propose juste de réfléchir à l'origine de cette apathie, de cette ambiance étouffante qui conduit au craquage de plomb, car lorsque les membres d'une même société ne peuvent plus coexister, il en revient à la société de se remettre en question. Bombita est donc le segment qui nourrira le plus de débats, car il propose une réflexion intéressante sur nos sociétés, plutôt que de se contenter d'être bête et méchant : à travers les déboires de son pauvre père de famille divorcé dont le seul tort est d'être un peu colérique, il rappelle qu'à partir de l'instant où l'on s'autorise à se plaindre de l'absurdité du système, à partir du moment où l'on crie là où les autres se taisent honteusement, en d'autres termes, laisse son humanité parler, cesse de jouer le jeu social, et sort du rang, le système se retourne contre vous, et fait de vous un objet de diabolisation en puissance à tous les niveaux. C'est par moment parfaitement kafkaïen, mais nous vivons dans un tel monde. Dans le rôle de ce personnage trop humain, Ricardo Darin est parfait, impeccable d'authenticité. Et on adore le dénouement, peut-être fantasmé tant il est "idéal", qui le voit fêter son anniversaire en prison, contre toute attente tout sourire parce qu'heureux d'être enfin vivant, et de nouveau aimé par sa femme car enfin homme… 8/10.


La Propuesta est, après Las Ratas, le moins mémorable morceau de la bête Les Nouveaux Sauvages. Ici, le problème n'est pas tant un manque d'inspiration qu'un excès de retenue : on a affaire au segment le plus sage de tous. C'est tout de même d'un très bon niveau. Szifron adapte sa mise en scène à l'épure classieuse du décor, et réserve quelques beaux moments de stress et de malaise le petit doigt sur la couture du pantalon ; on comprend que l'absence d'action est précisément l'intérêt de cette histoire, qui ne sera, officiellement, jamais passée. On aime la pertinence de la rapidité à laquelle la pourriture morale contamine tous les comportements, tous les regards, la moindre remarque, à mesure que chacun décèle un moyen de tirer beaucoup d'argent de cette affaire. Et l'on apprécie la variante toute en retenue du craquage de plomb à laquelle se livre l'excellent Oscar Martinez, lorsque le père décide de ne plus rien payer, de ne plus jouer le jeu des sangsues qui l'entourent, rompant, quelque part, là aussi, avec le protocole, qui est de s'écraser et de payer. On voit bien la suggestion par Szifron de la seule solution à la corruption : ne pas céder, envoyer chier, quel que soit le prix, et c'est vrai, mais c'est aussi un peu faible. La Propuesta n'est pas un grand segment parce qu'il manque peut-être un peu d'incarnation et de tension, mais il propose un spectacle intelligent, assez divertissant, et surtout très étonnant après tout ce qui a précédé. 7/10.


Quand on dit que Les Nouveaux Sauvages est un grand film, ce n'est pas du blabla. Alors que la chose semble tomber sous le sens quand on en parle comme ça, rares sont les films qui réservent le meilleur pour la fin, même ceux à sketches, où l'exercice devrait être pourtant plus facile. Ici, le meilleur arrive à la fin, et il s'appelle Hasta que la muerte nos separe, récit d'un mariage fastueux virant au naufrage aussi burlesque que sauvage lorsque la mariée découvre que son nouvel époux a une amante. Si Szifron a choisi de conclure son film avec ce segment, c'est pour une excellente raison sur laquelle nous reviendrons plus bas. Si cette raison est à ce point excellente, c'est parce qu'on tient là un chef-d'œuvre pur et simple, une énième et féroce explosion de rancœur, de frustration et de fureur incontrôlée qui porte le craquage de plombs à un tout autre niveau de débâcle, alors qu'il ne sera ici nulle question de meurtre, de prison, ou même de simple amende. Peut-être parce qu'une bête histoire d'amour peut davantage étreindre les sentiments du spectateur qu'une histoire de meurtre, de prison, ou (hum) d'amende ? Car c'est tout ce que vous aurez : un mariage, une révélation d'infidélité, une épouse jalouse, et la déroute subséquente. Mais quelle déroute ! Ici, le craquage de plomb se situe au moment où la mariée, Romina, qui vient de confondre son mari, Ariel, alors qu'ils sont en train de danser devant tous leurs invités, décide de ne pas attendre "dignement" la fin de la soirée pour traiter ce problème. Une fois le switch enclenché, la pauvre nana n'en a plus rien à foutre, l'auditoire la voit geindre et elle n'en a rien à foutre, le rimmel zèbre son visage bouffi par les larmes mais elle n'en a rien à foutre ; très rapidement, ça cognera, ça enverra valdinguer dans les portes, ça pissera le sang, et ça pleurnichera de plus belle, le tout génialement orchestré par un réalisateur/scénariste pleinement maître de ses effets, et donnant au terme "débandade" toute sa drolatique dimension. La ravissante Erica Rivas, qui joue la mariée furibarde, mérite tous les éloges, tant sa performance est habitée et renversante, que ce soit dans le tragique (voir la scène où elle jure à Ariel de ruiner sa vie pour le restant de ses jours !) ou dans le comique. Hasta que la muerte nos separe est également le segment le plus brillamment mis en scène, Szifron y déployant un sens généreux du cadrage, remplissant ses plans à ras-bord, donnant à ses champs/contrechamps une fonction supplémentaire à celle de simple illustration du dialogue, et à sa descente aux enfers un air de tourbillon qui laisse K.O. le spectateur.


Mais ce n'est pas cette descente aux enfers, si virtuose fût-elle, qui en fait la conclusion idéale aux Nouveaux Sauvages. C'est son dénouement. Un dénouement qui en fait un chef-d'œuvre. La marque d'une conclusion réussie est de parvenir à conjuguer l'inattendu au cohérent. Rien ne sert de cuisiner une fin parfaitement inattendue si celle-ci n'a aucun sens. Il faut qu'elle ait un sens. Celle d'Hasta que la muerte nos separe a un sens qui le hisse par-delà la simple satire impitoyable, en ce qu'elle donne à apercevoir, pour la première fois dans le film, de la lumière au bout du tunnel. Parce que le film se finit bien. De la petite exploration de la folie citadine en milieu tempéré à laquelle s'adonne Szifron, Hasta que la muerte nos separe est le climax ; et chez lui, la folie fait souvent des dégâts. Le spectateur a beau s'amuser, Les Nouveaux Sauvages n'en est pas moins un film pesant, parfois angoissant, parce que l'humour n'est qu'une expression de sombres sentiments. C'est pourquoi son dénouement ne devait, ne POUVAIT être aussi noir que les autres, parce qu'un tableau parfaitement noir est aussi vide qu'une toile vierge. Alors que Romina et Ariel s'embrassent en dansant un slow sur le magnifique Fly Me to the Moon de Bobby Womack, exténués par tout ce qui a précédé, le spectateur, lui aussi éreinté par le plus long segment de l'ensemble, est traversé par un flot d'émotions auquel il ne s'attendait pas… ainsi que par une magnifique réflexion sur les curieux chemins que l'amour, dans un couple, doit parfois emprunter pour enfin se trouver. La montagne russe dont on sort, que l'on prenait pour une descente aux enfers, est en fait une ascension, une venue au monde. Avant cette épreuve, le couple Ariel/Romina paraissait bien conventionnel, bien policé, entouré de quatre parents dépensiers et de centaines d'amis dont il ne connaissait que les noms de famille ; il ne se connaissait pas vraiment non plus. L'épreuve aura été le premier jour de leur romance, celui où chacun sera tombé vraiment amoureux de l'autre, lui, voyant peut-être pour la première fois combien cette fille a du chien, elle, réalisant combien ce type, devenu soudain moins con en une nuit cauchemardesque, tient à elle, et a amplement retenu la leçon. Une fois qu'il y a survécu, fût-ce de justesse, leur couple devient indestructible. La sauvagerie des Nouveaux Sauvages n'a pas disparu. Elle est toujours là. Mais cette fois-ci, elle exprime l'eros, la pulsion de vie. Se retrouvant l'un et l'autre, submergés par l'émotion, l'un comme l'autre ne peut attendre de gagner leur suite nuptiale pour baiser. Les parents largués et les invités gênés quittent en précipitation la salle dévastée. Il ne reste plus qu'eux. Romina n'est plus la seule à s'en foutre ; Ariel aussi. Il la prend en levrette. Elle salope sa coiffure sur le gâteau de mariage qui tombe en miettes. Des sauvages, on vous dit. C'est peut-être le message à retenir des Nouveaux Sauvages : que la passion entre un homme et une femme est le seul espace-temps où peut pleinement exister la sauvagerie. Acmé bouleversante, sidérante, d'un segment, d'un FILM qui nous avait déjà amplement comblés. 10/10.

ScaarAlexander
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le 9 mars 2015

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