Love and Bruises par bigfoot

De l'amour et des bleus, frôlements et bruissements d'une passion bancale, totale mais de travers, jamais des mêmes tenants. D'ailleurs, ça commence plutôt mal entre Hua et Mathieu, par un coup au...

le son est mauvais, les images mauvaises, le jeu d'acteur est mauvais (et pourtant tahar rahim quoi), enfin bon, une heure quarante cinq de supplice où je ne demandais qu'à malencontreusement faire...

L'oeuvre de Lou Ye pourrait aisément s'intituler Les lois du désir. Dans Love and Bruises, le réalisateur chinois est manifestement habité par la dialectique maintes fois éculée d'Eros et Thanatos...

En 1963 le cinéma populaire américain se découvre une deuxième jeunesse grâce aux talents conjugués de grands noms du 7ème art. "La grande évasion" est, à mes yeux un film coup de poing. C'est à dire...

Citer Gogol Bordello en titre de cette critique n'est pas anodin, en effet, quoi de plus justifié que de rendre hommage au fabuleux groupe d'Eugene Hütz tant ce film est gypsy punk. Commençons donc...

Nous sommes en 1959 quand ce remake américain des sept samouraïs de tonton Kurosawa est tourné. Derrière la caméra, ni plus ni moins que le doué John Sturges qui se trouvait être à l'époque connu...