Un violoncelliste travaillant pour un orchestre à Vérone souffre de ne pas être un véritable talent dans sa profession, d'être ignoré par ses collègues et son supérieur, et qu'en outre ces derniers ne retiennent jamais son nom bien que ce dernier soit Vivaldi. Seul petit rayon de soleil et anormalité dans cet univers déprimant, la femme du protagoniste, qui déjà est gentille comme tout, est en plus une véritable bombe. Notre musicien va trouver un drôle de sens à sa vie en trouvant excitant d'exposer la plastique parfaite de son épouse aux regards concupiscents des autres hommes...


Une idée de départ bien dans le contexte "liberté sexuelle" de l'époque de la sortie du film, une Laura Antonelli à la plastique véritablement parfaite, des personnages qui ont le mérite de ne pas tomber dans la caricature, ce qui est la bonne surprise du film.


Mais une fois la mise en place passée, le scénario peine à se renouveler et à ne pas faire autre chose qu'à tourner sans cesse, ce qui fait que l'indifférence, malgré l'attachement qu'on a eu jusqu'ici pour les personnages, ne tarde pas à provoquer l'indifférence saupoudrer d'une pointe d'ennui, dommage...

Plume231
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le 28 janv. 2017

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