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L’amie câline
Alors non, ceci n'est pas un porno. Je sais, j'en suis le premier déçu. Dans Madame et ses Flirts, il n'y aura donc pas d'orgie, de gang-bang, coup de martifouette ou autre bukkake. Le titre original...
le 17 févr. 2015
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Madame et ses flirts par Alligator
Je ne connaissais pas Preston Sturges. Mais vraiment rien de rien. Pour tout avouer, je crains même de l'avoir confondu avec John Sturges. C'est dire!
Aussi je découvre un cinéaste au cinéma cartoonesque, pétaradant, vif, moins drôle que l'on me l'avait dit mais enjoué, adorable, très divertissant.
En cela, il est vrai qu'il s'aide d'un gang de joyeux drilles. Et en tête d'une troupe de personnages tous plus ou moins loufoques la fameuse Clodette Colbert, une foutue machine à vapeur, une athlète autant qu'une actrice de talent. J'ai été étonné de découvrir les aptitudes de jeu de la dame.
Tout aussi pittoresque le candide Hackensacker interprêté par l'impeccable Rudy Vallee. Et avec Mary Astor, si déjantée, je découvre le n° d'artiste clown de Sid Arno, dans un rôle hallucinant d'étranger improbable à la langue aussi inconnue que ses accoutrements.
Je reste cependant un brin déçu par Joel McCrea qui m'a semblé parfois en dessous de ses comparses.
Une comédie pas loin d'être échevelée, par le rythme de l'action mais surtout par la dynamique qu'assurent les dialogues, véritables petits bijoux. "Tu cours comme un poulet décapité".
Aussi je découvre un cinéaste au cinéma cartoonesque, pétaradant, vif, moins drôle que l'on me l'avait dit mais enjoué, adorable, très divertissant.
En cela, il est vrai qu'il s'aide d'un gang de joyeux drilles. Et en tête d'une troupe de personnages tous plus ou moins loufoques la fameuse Clodette Colbert, une foutue machine à vapeur, une athlète autant qu'une actrice de talent. J'ai été étonné de découvrir les aptitudes de jeu de la dame.
Tout aussi pittoresque le candide Hackensacker interprêté par l'impeccable Rudy Vallee. Et avec Mary Astor, si déjantée, je découvre le n° d'artiste clown de Sid Arno, dans un rôle hallucinant d'étranger improbable à la langue aussi inconnue que ses accoutrements.
Je reste cependant un brin déçu par Joel McCrea qui m'a semblé parfois en dessous de ses comparses.
Une comédie pas loin d'être échevelée, par le rythme de l'action mais surtout par la dynamique qu'assurent les dialogues, véritables petits bijoux. "Tu cours comme un poulet décapité".
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le 1 janv. 2013
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