On retrouve les thèmes de prédilections du cinéaste, c'est à dire les souvenirs, la mémoire, l'oublie. Tous les thèmes présent dans le film prennent leur source autour de ce souvenir, de cette mémoire. Tout le film participe à la deconstruction du récit (de la musique au montage) où se mélangent, se rencontrent les souvenirs des protagonistes. Le découpage se prolonge de manière excessif. Nous devons faire une reconstruction pour comprendre le film et les personnages doivent faire une reconstruction pour se comprendre.
Alors le film lui meme ne serait qu'un souvenir ? Serait il mémoire ?
Le plan séquence finale, est le seul qui va à l'encontre du découpage dans le montage. C'est la première fois où l'on voit l'appartement dans son ensemble. Toute notion de mémoire et de passé a disparu en meme temps que les personnages. Muriel est un film terriblement moderne.
KanedaShotaro
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le 16 juin 2013

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Kaneda

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