Parlons peu parlons bien, un film avec des roux et une fuite en montgolfière ne peut être que bon.
Notre jour viendra commence comme une belle éloge de la médiocrité à la française. Très parisien.
Gavras nous offre un festival Vincent Cassel, génial en destructeur de tout ce qui est beau et pur, en corrupteur médiocre et désabusé.
Au fur et à mesure que le film avance, on est touché par la fuite en avant de personnages complètement épuisés.
Bref, c'est bien.
PS : Y a que moi ou Cassel rappelle vachement le Poelvoorde de "C'est arrivé près de chez vous" ?