Première critique que je poste après quelques années sur ce site, je ne suis pas un littéraire ni un bon scribouillard (désolé aux passionnés pour l’orthographe, car oui il y'a certainement des fautes dans mon blabla et je sais bien qu'il y'a et aura toujours un où des donneurs de leçons pour te le rappeler) mais là je ne suis pas content du tout. Je l'attendais au tournant celui-là.


Bon...que dire...franchement déçu !! Tout le monde autour de moi (feu mes amis) me vendais ce film comme étant le meilleur du cinéaste jamais fais bla bla bla bla...
Je partais donc confiant, mais une fois le film terminé WTF où a t-il voulu en venir avec se fatras !


Points positifs:


La présta de Di Caprio en acteur has-been et ringard. J’ai bien aimé le fait qu'il joue voir sur-joue un mauvais acteur sur le déclin.
Brad Pitt se contente du strict minimum dans sa présta, seul instant (magique) :


Toute la scène sous LSD est juste hilarante. Qui n'a jamais voulu voir un roux ou rousse ce faire littéralement défoncer la gueule pendant près de 30sec non-stop (humour...) ahahah juste génial.


La branlée que prend Bruce Lee est excellente aussi. Pour ma part sur ses deux points nous retrouvons Tarantino le vrai.


La bande son est très bien ainsi que la retranscription du Hollywood des années fin 60 début 70.


Points négatifs : (c'est là que ça ce corse)


Le film se compose de plusieurs petites scénettes des anciennes prestations de Rick Dalton, que j'ai trouvée d'un ennuis mortel sans intérêt et qui n'apporte rien de plus au film. Comme si il avait voulu combler un scénar plutôt vide. De plus c'est même pas drôle.


Le personnage incarné par Margot Robbie n'est pas assez travaillé, n'a finalement aucun lien avec le reste, hormis le fait que ce soit la voisine de notre tête d'affiche et qui dans la réalité c'est fait poutrer par la famille Manson (pas dans le film) dommage...


Les PIEDS !!!
Ok il aime le pied ça c'est indéniable, mais la sérieux il nous sert du pied mais alors DÉGUEULASSE, merde quoi quitte à mettre du pieds mets-en nous du beau et du propre bordel.
Franchement entre l'autre hippie et ses dessous de pied moitié corné et jauni de crasse balancé en pleine poire.. comme ça gratuit " prends toi ça dans la gueule spectateur et dommage ta pas le droit à l'odeur en prime " et la Robbie idem mais noir de chez noir ce coup-ci, comme si elle avant arpentée Hollywood Boulevard sans chaussure en faisant la manche (pourquoi la manche...parce-que dessous de pied noir = clodo tout simplement le calcul est vite fait).
Perso quand je vois l'état des pieds je m'abstiendrai de les sortir même si ok on est à la porte des années 70 hippie qui rime avec poils sous les bras j'en passe et des meilleures etc mais quand même...


Les dialogues... alors oui parlons-en de ses pseudo dialogues culte. Là encore habitué à des phases tranchantes, outrancières, vulgaires sans en faire de trop non plus quoi que.., j'ai été déçu. Pareil on me vendais (feu mes amis) les dialogues comme culte à l'image de mon pref Les 8 salopards, quelle ne fut pas ma déception après visionnage... Ennuyeux, creux, presque rien à retenir sauf peut-être l'engueulade des hippies par Dalton devant chez lui où le flash-back de Booth. Je trouve qu'il ne vas pas assez loin dans ses délires et nous laisse un arrière goût de trop peu.


Bref je voulais poser et vomir sobrement m'on mécontentement à l'égard de ce film qui pour moi n'est pas achevé et surf sur le fan service et la notoriété de notre ami (que j'adore également) ...Whaouu Quentin = dieux du cinéma fais ce que tu veux ça sera toujours au top du top, bah là non je suis désolé encore un film à mettre au placard des mauvais Tarantino à côté de Jackie Brown et Boulevard de la mort.


La biz au chat

Kazak
4
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le 4 déc. 2019

Critique lue 758 fois

Kazak

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