Astier réussi à nous parler de Bach et à faire rire avec la théorie musicale. Disons que c'est déjà quelque chose d'assez rare, on peut donc lui attribuer ce mérite.
La narration navigue entre des cours publiques de musique qui sont le prétexte à une forme de One Man Show d'assez classique facture et des moments plus "théâtreux" qui oscillent, eux, entre le style télévisuel et un monologue de rue. L'adresse au public est toujours assez efficace. La partie qui décrit la vie de Bach est beaucoup plus chaotique... avec quelques longueurs.
Difficile de décrire cette sensation. Fraîcheur thématique enrobé d'une dose de Dieudonnéisme (avant Soral), d'un poil de théâtre amateur... Quelques chose de l'ordre d'une impression tempérée.