Au bord de la route
Visage d'ange errant, silhouette juvénile vêtue de noir, Enoch est de tous les enterrements depuis que ses parents l'ont quitté tragiquement. Annabel , adolescente au physique de jeune garçon...
Par
le 1 oct. 2011
31 j'aime
26
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Visionnages - cru 2012
Créée
le 15 janv. 2012
Critique lue 268 fois
D'autres avis sur Restless
Visage d'ange errant, silhouette juvénile vêtue de noir, Enoch est de tous les enterrements depuis que ses parents l'ont quitté tragiquement. Annabel , adolescente au physique de jeune garçon...
Par
le 1 oct. 2011
31 j'aime
26
Restless en film d'ouverture de la sélection Un Certain Regard : la décision avait étonné plus d'un cinéphile,à l'égard d'un auteur habitué aux récompenses en Sélection Officielle (Palme d'Or pour...
Par
le 25 juin 2011
25 j'aime
11
"Restless" est bel & bien l'achèvement que j'attendais de Gus Van Sant. Alors que "Elephant" traînait en longueur sans jamais réussir à signifier autre chose que la mort imminente, & que "Paranoid...
Par
le 4 févr. 2012
21 j'aime
12
Du même critique
Voici un film qui illustre parfaitement une certaine idée du cinéma, celle qui permet à des orfèvres de s’emparer de sujets politiques difficiles, abscons et d’en donner une interprétation qui permet...
Par
le 24 oct. 2019
31 j'aime
Comme quoi c’est possible de faire une comédie qui force le trait sans tomber dans la danyboonite aigüe (une maladie de la même famille que la kev'adamsite ou la franckdubosquite). Karine Viard...
Par
le 14 sept. 2017
27 j'aime
9
François Damiens dans un film qui s’intitule “les cowboys”, où il incarne un père de famille fan de country dans les années 90. Voilà une base qui donne envie. Envie de fuir bien loin. Sauf que ça se...
Par
le 18 nov. 2015
24 j'aime
7