Si c'est dans le journal, çà doit être vrai...


Ne jamais terminer une phrase par une préposition. Ne jamais essayer de compléter une quinte flush. Et ne jamais, jamais te retrouver seul aux toilettes avec Bensinger.



Une comédie enlevée et grinçante qui m’a agréablement surprise, réunissant tous les ingrédients qui font le charme des films de Billly Wilder.


Le pitch de départ est simple et diablement efficace. 1929, tribunal de Chicago, en face de la prison. C’est le soir et la salle de presse est sur les dents car un condamné à mort doit être pendu le lendemain à l’aube. Le seul journaliste imperméable à toute cette effervescence est Hildy Johnson (Jack Lemmon). Il vient de poser sa démission et a prévu de prendre le train de minuit pour Philadelphie, afin de convoler en justes noces avec sa fiancée, Peggy Grant (Susan Sarandon). Seulement son rédacteur en chef, le machiavélique Walter Burns (Walter Matthau), ne compte pas laisser filer si facilement son meilleur journaliste. On est d’amblée placé face à deux dead-lines : l’exécution matinale et ce train de minuit à prendre. Bien évidemment, la soirée ne va pas être de tout repos !


Une comédie à 100 à l’heure
Ce couperet qui plane sur le personnage principal comme sur le condamné à mort permet à Billy Wilder d’enchaîner les rebondissements mais aussi et surtout les tirades à un rythme effréné. On est vraiment ici dans le plus pur style des comédies « verbales » de Billy Wilder, où les répliques fusent à un rythme extrêmement rapide. Les dialogues fourmillent de bons mots, mais les personnages sont lancés à une telle vitesse dans leur course contre la montre (avec la même rapidité vertigineuse que les rouleaux de presse tournant à plein régime dans le générique de début,) qu’on n’a souvent pas le temps de rire d’une pique bien sentie que le film est déjà passé à autre chose. Le tempo est doné par Billy Wilder lui-même, montre en main lors du tournage.



On se rend bien compte que la comédie constitue un exercice autrement plus difficile que le drame. En particulier sur Spéciale Première, tant le débit en parole était rapide, presque frénétique […] En général, sur ce film, une page de scénario dialogué demandait aux acteurs une minute. Nous avons cependant été bien plus rapides, avec quarante-cinq secondes pour deux pages.
- Jack Lemmon.



Son chronomètre en main, il [Billy Wilder] veillait à ce que les prises ne soient jamais trop longues, à ce qu’on récite nos dialogues à vive allure. A l’approche de la fin du plan, on l’entendait dire : « Encore trois secondes ! », et on avait intérêt à presser le mouvement pour finir dans les temps. Si on dépassait de trop les délais, on recommençait.
- Susan Sarandon



D’où un sentiment d’urgence très bien rendu à l’écran. Dans ce sens, Spéciale Première se rapproche de 1,2,3, pour cet aspect quasi hystérique (les deux films ayant d’ailleurs été écrit en collaboration avec I A L Diamonds, tout comme Certains l’aiment chaud). Cette férocité dans le rythme va se retrouver jusqu’à la toute dernière minute du film, Billy Wilder pressant jusqu’à la dernière goutte son citron acidulé. Même dans la scène finale, quand Hildy Johnson arrive à la gare, une succession de gags rapides continuent à s’enchaîner jusqu’à l’épilogue nous apprenant le devenir loufoque des différents protagonistes du film (idée que Billy Wilder confesse avoir piqué à George Lucas dans American Graffiti). Le spectateur est donc confronté à une quasi-surcharge de stimuli comiques maintenus tout le long du film.


Planter le décor
Par contre, si les dialogues s’envolent et redoublent de fantaisie, l’action est contenue dans un cadre très rigide. Adaptation d’une pièce de théâtre de Ben Hecht, Spéciale Première reste bel et bien du théâtre filmé, comme souvent chez le réalisateur, la scène principale des évènements étant la salle de presse. Seules quelques rares excursions se distilleront au cours du film (comme cette course poursuite guignolesque des voitures de police). On retrouve d’ailleurs là encore une ressemblance très forte avec 1,2,3 où le film se passe principalement dans un bureau, avec quelques ballades en voiture effrénées dans Berlin sur l’air inoubliable de La danse des sabres.


Si dans d’autres de ses films, cet aspect théâtral et quasi en huit-clos m’a parfois semblé réducteur, il prend ici une connotation intéressante car il place cette salle de presse au cœur des évènements. La salle est astucieusement agencée comme dans les commedia dell’arte: depuis la fenêtre, on peut voir la cour de la prison et l’échafaud en train de se construire, les bureaux du shérif et du maire sont juste à côté. L’agencement des lieux est parfaitement maîtrisé et filmé (petit plus peut-être par rapport à La dame du vendredi, superbe adaptation sortie en 1940 de la même pièce de théâtre). On a l’impression que tout se passe dans cette salle, tellement elle fourmille d’activités, de passages, de paroles. Finalement, pas besoin d’aller voir le monde extérieur, puisque toutes les informations importantes sont colportées, déformées, répétées et diffusées au moyen des téléphones placés sur la table centrale. Le spectateur a devant les yeux un véritable microcosme, un monde évoluant en vase-clos, avec ses propres codes, captivant et terriblement crédible, malgré le ton caricatural.


Cette crédibilité est d’ailleurs pour moi l’atout majeur du film (et est peut-être due au fait que Billy Wilder fut lui-même journaliste dans les années 20/30). Tout fait vrai, dans les moindres détails, comme cette femme de ménage nettoyant le tribunal après les heures d’ouverture. Même quand il ne se passe rien, comme dans la scène d’ouverture du film où les journalistes patientent en jouant aux cartes, cette « scène de théâtre » est vibrante de vie. C’est dans cette salle que Hildy Johnson ne peut s’empêcher de revenir, à maintes reprises dans le film. Il n’arrive pas à la quitter, et la salle elle-même semble vouloir le retenir, lui offrant un scoop tombé du ciel et le déposant à ses pieds


(le fugitif dégringolant par la fenêtre pour atterrir devant Hildy Johnson)


. La salle devient un personnage à part entière du film, l’élément tangible qui emprisonne et séduit le héros comme le spectateur, le symbole du journalisme dans ce qu’il de plus horrible et de plus fascinant.


Les journalistes, ces vautours
Le sujet du principal du film n’est d’ailleurs pas le condamné à mort et son évasion, ni même les efforts de Peggy Grant pour mettre Hildy Johnson dans le train, mais bel et bien le journalisme et le rapport amour/haine qu’entretient Hildy Johnson avec cette profession et par extension son rédacteur en chef. C’est un sujet qui avait déjà été traité par Billy Wilder dans Le gouffre aux chimères avec Kirk Douglas dans le rôle de titre, et on y retrouvait cette alternance de dégoût et d’attirance, quasiment d’addiction du personnage principal pour son métier, et les mêmes tentatives vouées à l’échec pour le quitter. A son pot de départ, Hildy Johnson fera ce portrait sans concession de son métier à ses ex-collègues :



Regardez-vous un peu, « journalistes » ! Pisse-copie à chemises sales et futals troués ! Voyeurs qui réveillez les honnêtes gens au milieu de la nuit pour leur demander leur avis sur X ou Y, ou voler des photos de leur fille unique qui s’est faite violer ! Tout çà pour exciter les bonniches et les épicières ! Et le lendemain, votre prose enveloppe du poisson !
– Hildy Johnson



Billy Wilder n’épargne aucun défaut aux journalistes. Ils sont tricheurs, voleurs, malpropres, machistes et menteurs, ils n’ont aucune éthique professionnelle et semblent avoir perdu la moindre humanité.



Un journaliste ? Ne me dites pas çà ! Ces types, on les ramasse la nuit, soûls. Ils s’évanouissent dans le taxi. On les monte chez eux, on les met au lit… Et quand on cherche leur fric pour se faire payer, ils gueulent : « Au voleur ! ». Ne me parlez pas d’eux !
– Chauffeur de taxi



Le groupe face à l’individu
Ce groupe de journalistes particulièrement abjects va permettre à Billy Wilder de travailler un autre aspect particulièrement réussi du film : la dynamique de groupe. Il avait déjà montré de très beaux exemples dans certains de ses premiers films, comme par exemple dans Stalag 17, où William Holden se retrouvait confronté aux autres prisonniers de guerre enfermés avec lui.


Personnellement, je trouve que la coalition d’individus face à un individu esseulé a rarement été aussi bien représentée au cinéma que dans Spéciale Première. Le film montre plusieurs scènes se rapprochant d’une scène de lynchage avec une violence d’autant plus troublante qu’elle est placée dans un contexte comique.


A l’exception de Johnson (venant de démissioner), Besinger (un journaliste ostracisé par son homosexualité) et Keppler (le petit nouveau), l’ensemble des journalistes forment un bloc compact et indivisible. Même caractéristiques (hommes d’âge murs au physique passe partout), même look vestimentaire, même état d’esprit (leurs répliques sont tout à fait interchangeables). Aucun ne sort du lot, c’est leur unité qui fait leur intérêt. En tant que groupe, ils vont s’opposer aux individus isolés, fondant sur eux comme des vautours sur la chair fraîche. Les confrontations sont extrêmement nombreuses dans le film, ayant toujours pour cadre la salle de presse, permettant à Billy Wilder de s’amuser avec l’espace et sa caméra : les journalistes vont entrer, sortir, se jeter sur un nouvel arrivant ou empêcher quelqu’un de s’en aller, tourner autour de la table, etc. Leurs déplacements et leurs répliques sont soigneusement chorégraphiées, en un ballet à la fois ridicule et menaçant. La scène la plus marquante est évidemment celle où ils vont acculer une prostituée contre la fenêtre.


Celle-ci les repousse avec une chaise, avant de se jeter dans le vide, dans l’indifférence la plus totale. L’œil sans pitié que pose Billy Wilder sur ses semblables parait bien cruel, et la petite phrase nous apprenant que la prostituée ne s’est « miraculeusement » cassé qu’une jambe parait une bien bancale tentative de remettre le film dans les rails de la comédie après cette méchante sortie de route.


Une sexualité trouble
Et puis bien sûr, on ne serait pas dans un Billy Wilder sans cet ingrédient capital : la sexualité.


Et tout d’abord, l’homosexualité. Il est toujours amusant de chercher un sous-texte homosexuel dans les films de Billy Wilder. Dans Spéciale Première, il ne s’agit même plus d’un sous-texte car pour la première fois l’homosexualité est explicite pour au moins un personnage secondaire. En effet, un des journalistes, Besinger, est ouvertement homosexuel. S’il est caricatural et la cible de plusieurs blagues d’un goût douteux (on conseille au journaliste débutant de ne pas se retrouver seul dans les toilettes avec lui), il reste l’un des rares personnages positifs du film. Il est en effet le seul journaliste, avec Hildy Johnson, à peu près intègre et travailleur.


Et c’est le seul qui connaîtra une fin amoureuse heureuse, puisque l’épilogue de fin nous apprend qu’il se met en couple avec… le jeune journaliste, justement !


Quant à la trame principale, on peut émettre l’hypothèse d’un triangle amoureux entre Hildy Johnson / Walter Burns / Peggy Grant. Sur le trait de l’humour, un des journalistes manifeste son étonnement à l’annonce du départ de Hildy Johnson : « Je croyais qu’il était marié à Walter Burns. ». A mesure que le film avance, les efforts du rédacteur en chef s’affichent de plus en plus comme celui d’un amant jaloux que d’un patron. La scène la plus parlante étant celle où Hildy Johnson se remet à écrire sous les yeux impuissants de sa fiancée et où Walter Burns exulte en la mettant à la porte.


D’ailleurs, le rédacteur en chef retors finira par avoir gain de cause et garder Hildy Johnson près de lui.


Dans La dame du vendredi, le rôle de Hildy Johnson était joué par une femme, divorcée de Walter Burns. On retrouve parfois dans les deux « couples » la même familiarité dans leurs gestes, comme l’allumage de cigarettes. Billy Wilder semble en tous cas vouloir faire planer le doute sur l’orientation sexuelle du héros.


Que cette interprétation paraisse tirer par les cheveux ou pas, Hildy Johnson n’en reste pas moins un héros type de la filmographie de Billy Wilder, aux antipodes de la figure du mâle dominant viril qu’on associe généralement aux héros dans le cinéma. Avec Billy Wilder, Jack Lemmon a créé un personnage presqu’identique d’un film à l’autre, un Monsieur-tout-le-monde, plutôt étourdi et rêveur, qu’on devine inoffensif, qui subit les évènements sans jamais les maîtriser. Sa prestation la plus aboutie me parait celle dans La garçonnière, où il fait un touchant plaidoyer pour tous les hommes comme lui qui se font écraser par des hommes plus « forts », plus puissants, plus confiants que lui.


Des hommes sensibles chez Billy Wilder donc, plutôt que des hommes d’action. Des hommes passifs, oserais-je dire impuissants ? Après tout, Tony Curtis dans Certains l’aiment chauds et Jack Lemmon dans Irma la douce ne déclament-ils pas leur impuissance sexuelle à deux belles femmes, leur laissant faire tout le travail de séduction ?


Il est d’ailleurs assez amusant de constater que les femmes prennent plus facilement les rênes que les hommes, au moins en ce qui concernent la sexualité. Les personnages féminins sont souvent très sensuels, avec une libido libérée. Il y a bien sûr l’inoubliable Sugar campée par Marilyn Monroe, il y a ces nombreuses prostituées qui ne sont jamais jugés par Billy Wilder, il y a ces amoureuses comme Sabrina et Ariane qui malgré leur inexpérience vont déployer des trésors d’ingéniosité pour séduire l’homme qu’elles aiment.


Chez Billy Wilder, les hommes se cherchent alors que les femmes assument pleinement leur sexualité.


Spéciale Première ne déroge pas à la règle. Hildy Johnson hésitera tout le film et n’arrivera jamais à partir, à chaque fois retenu par des évènements hors de son contrôle. Tandis que les deux personnages féminins, Peggy Grant et la prostituée, exprimeront clairement leurs désirs.


Dépassé, papy Wilder ?
Spéciale Première sera un échec commercial et surtout critique. On lui reprochera notamment d’être « déconnecté de son temps » et démodé. C’est vrai que si le film est sorti en 1974, la facture très classique de la mise en scène parait plutôt le placer dans les années 50. Billy Wilder faisant rarement des folies avec sa mise en scène, l’ambiance générale se rapproche plus d’une pièce de théâtre filmée que des films libérés et inventifs qui sortaient à cette époque. L’époque même où se situe le film est rétro : ces journalistes crasseux des années 20/30 paraissent terriblement anachroniques et ringards, à l’heure de la petite lucarne et du Watergate (Les hommes du Président sortiront deux ans après Spéciale Première). Alors oui, le film devait paraître sacrément has been à sa sortie. Billy Wilder, touché durement par les critiques reçus par le film, avoue lui-même se sentir déphasé dans ce nouvel Hollywood.



Le temps des comédies à la Ernst Lubitsch est révolu. J’ai aspiré à ce style pendant toute ma carrière et, sur ce modèle, j’ai veillé à ce que Spéciale Première soit aussi subtil et élégant que possible.Cependant, aujourd’hui, le public souhaite surtout voir Peter Fonda démarrant sa moto avec une douzaine de types aux trousses, ainsi que Clint Eastwood armé d’une mitrailleuse plus grosse que la taille de cent quarante pénis. La gentillesse et l’esprit n’ont plus aucune chance de plaire.
- Billy Wilder



Et pourtant, et de façon tout à fait surprenante, Spéciale Première parait plus d’actualité aujourd’hui qu’il y a 50 ans. Sa vision désabusée de l’information semble avoir une résonnance particulièrement juste à l’heure du buzz et des tweets. Dans le film, les journalistes sont à la recherche de la une la plus aguicheuse qui fera vendre (le titre américain est The front page). Ils veulent imprimer vite, même sans avoir tous les faits. Ils relaient une information sans la vérifier, en la déformant et en l’amplifiant (il y a un glaçant jeu de téléphone arabe dans la salle de presse). Ils trafiquent les images (Wlater Burns fait poser le chétif fugitif pour lui donner un air hagard et effrayant). La vérité, le fond importent peu. Que le condamné à mort soit innocent ou coupable, quelle différence ? D’ailleurs, comme l’explique Walter Mutthau à Hildy Johnson, personne ne lira le deuxième paragraphe. Seul compte la forme, la « première page ». Le sensationnalisme avait déjà raison de notre esprit critique.


Fausses notes
Malgré ses nombreux attraits qui reprennent les marottes de Billy Wilder, le film comporte plusieurs défauts qui l’empêchent d’atteindre l’état de grâce d’un Certains l’aiment chaud. Principal bémol : l’absence de cassure de rythme. Tous les personnages s’expriment en hurlant, tout le temps. Non seulement cela finit par être fatiguant (attention à la migraine), mais cela nuit à l’intensité du film. Des petites respirations de calme aurait permis de rehausser les moments dramatiques. Le personnage de Molly Malloy, la prostituée, notamment, aurait gagné à s’exprimer plus dignement, au lieu de hurler comme une poissonnière et s’abaisser ainsi au niveau de la meute de journalistes criards.


De façon générale, les deux personnages féminins ne sont pas les plus touchants de la filmographie de Billy Wilder, loin s’en faut, et leurs rôles sont très secondaires. Pour le coup, La dame du vendredi de Howard Hawks réalisé 30 ans avant était beaucoup plus féministe, avec un magnifique personnage de femme forte et indépendante.


Qu’à cela ne tienne, Spéciale Première reste un très bon moment à passer, un film passionnant à bien des niveaux !




  • Ce ne vous dérange pas d’attendre ?

  • La nuit est belle, les orchidées embaument, le compteur tourne… 5 cents de plus !


Do_Cha
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le 16 déc. 2020

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Do_Cha

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