Suzume
7.1
Suzume

Long-métrage d'animation de Makoto Shinkai (2022)

Les catastrophes naturels façonne le Japon

En se qui concerne le genre cinématographique, si nous devons parler d’un « Maître » de l’art du style et de la mise en scène, le premier nom qui vient en tête c’est Sir Alfred Hitchcock. Mais quand est-il pour les films d’animations japonaise ?


Pour ma pars, je pense qu’une seule personne est apte à prétendre au titre de « Maître ». 

Monsieur Makoto Shinkai. Bien entendu, je ne me prétend pas spécialiste analytique de la japanisation japonaise. Mais étant donnée que j’en ai regarder beaucoup et bien entendu continue dans regarder. Je trouve que Mr Makoto est de loin l’auteur qui à le plus sublimer avec un maximum de détails et bien souvent rendant la frontière entre réalité et animation flou tant ils y à de détails dans ses oeuvres. Si je devais citer pour appuyer mes propos bien que « méconnue » du grand public, ça serais l’immense The garden of Words. Les paysages, la météo, la musique … Tout est d’un réalisme tel qu’on se croirais vivre en même tant que les personnage. D’ailleurs en passant, celui-ci est mon plus gros regret de pas l’avoir découvert sur grand écran.


Pour les plus septiques, cela ne suffirais surement pas à considérer Makoto Shinkai comme un maitre. A mon sens, il suffirais d’aller voir ceux qui ont déjà vue ses oeuvres. Le spectateur néophyte ou consommateur confirmer de films d’animation japonaise sera dans une très grande majorité d’accord pour affirmer que personne est au-dessus de monsieur Shinkai.


Cependant, il serais légitime de se demander pourquoi un tel engouement à l’égard d’une seule personne. Puisque les grands noms de l’animation japonaise ne manque pas : « Hayao Miyazaki (Princesse Monoké), Isao Takahata (Le Tombeau des lucioles), SHinichirô Watanabe (Cowboy Bebop : le film) et bien d’autres …


Ce n’est qu’un avis personnel mais, je trouve la suprématie quasi incontestée de Makoto Shinkai s’explique pars le réalisme presque omniprésent présent dans ses oeuvres. Notamment à travers ses paysages, ses objets du quotidien. Mais si on devait en retenir qu’un.


L’animation de Tokyo qui est à la fois d’une fidélité perfectionniste tout en possédant un sens du détail qui nous fait découvrir le japon à la fois d’une sublime manière sans pour autant si rendant soit même. Au point que quasiment tous ces lieux du film existent en réalité ! Si vous me croyez pas, je vous invite à allez sur YouTube. Les vidéos de personne se rendant au Japon et comparent ces lieux avec ceux retranscris en animation ne manque pas. Au point que vous serais bluffé tant la ressemblance et ces détails sont saisissant.


D’un autre côté, se que je trouve tout aussi fascinant, c’est l’avis qu’on peux avoir en tant que spectateur. Qui à mon sens peux être diviser en deux. Soit, nous suivons le voyage de nos protagoniste avec cette petite boule dans le vente lorsque qu’ils sont en danger ou soit qu’atteindre un « objectif » sera périlleux voir irréalisable. 

Ou soit, le spectateur sera très terre à terre et analysera constamment les thématiques sociaux propre aux japonais. Tout en étant émerveiller pars le réalisme des paysages et des bandes sonores de la nature magnifiquement retranscrit au point de fissurer la frontière entre réalisme et animation. 


Bien entendu, je pourrais continuer sur cette lancer de parler du style propre à Makoto Shinkai. Mais il est tant de s’attarder sur le point centrale de cette critique.


Trois ans après Les Enfants du temps, celui que je considère comme le maître de l’animation japonaise nous accorde le droit de d’admirer sont 7ème long métrage.


Ce dernier sobrement appeler Suzume prendra pour la toute première fois le nom de sont personnage principal comme titre de film. 


De je m’attarderais pas forcement sur l’histoire en elle-même ni sur ses personnage. Cette intéressant puisque contrairement à l’accoutumer, nous avons un trio au lieu d’un duo. Mais au cours de cette séance, ce n’est pas les personnages mis leurs relations qui m’on frapper en premier. 


Se qui me sauta aux yeux en premier lieu, ce sont les catastrophes naturels qui ont était utiliser comme intrigue principal. Bon, en réalité, le film se concentre en particulier sur les tremblement de terres. Catastrophes qui traverse le japon depuis des siècles. Façonnant indirectement l’histoire japonaise et jouant aussi sont rôle sur les moeurs en vigueur. Au point que ses derniers sont encrée dans la façon de panser des japonais et japonaises. Pour eux avoir un tremblement de terre est anodin. Pourtant, à de multiples reprises, ces tremblement de terres boulversa leurs quotidiens. Les poussant à migrer ; laissant parfois absolument tout se qu’ils possèdent derrière eux. Ainsi que dans le plus tragique des cas …. Des proches. 


Parfaitement retranscrit par se long métrage d’animations à travers des échos du passées mais surtout pars des lieux abandonnées qui laisse la nature reprendre ses droits.  Ces lieux de désolation sont courant au Japon. Donc, on pourrais panser que ce sont des endroits peux fréquentable digne d’un film d’horreur de série B. 

En faite la réalité est tout autre. Ils sont là, les gens savent que ces lieux existent. Mais ils nis font pas plus attention que ça. Au point que parfois à quelques maitres seulement, des bâtiments vois le jour.



Les tremblements de terres, ne sont pas la seul thématiques liés à l’histoire. Ils y à ceux liés aux personnages dont je fait volontairement abstraction. Je préfère vous parler d’un style en particulier. Quelque chose qui me fait vibrer à chaque fois que cela fait partie d’une intrique. 


Le Road Movie. Mais quel plaisir ! De voir un film d’animation japonais qui aborde se style !! C’est tout simplement sublime. Magique; vibrant; hypnotisant … Le road movie est tout simplement le bienvenue vue le contexte de l’histoire. Mais, il ne se contante pas de servir l’histoire. Il fait partie intégrante de l’histoire; poussant nos personnage à découvrir de nouvel contrée de nouveaux personnages ainsi qu’évoluer en tant qu’individu. A cela s’ajoute que les japonais sont 99% des cas accueillant et chaleureux à l’égard d’inconnue qui se serais perdu. Cela à donner lieu à de magnifique moment de rencontre mais surtout à l’animation de repas qui donne l’eau à la bouche.


Pour conclure, je trouve que c'est un excellent film d'annimation et que je prendrais plaisir à revoir. Surtout qu'ils abordent des thématique qui me sont chère tel que la critique sociétal; les voyages; une photographie qui pourrais faire échos à la réalité. Ainsi le régal de pouvoir le considérer comme un road movie. Ah j'ai bien maigres moi oublier de mentionner que la BA est sublime ! Merci le jazz !! Puis y'a de la nourriture et des chats. Bref, à consommer sans modération ;)


Merci à vous Sir Makoto Shinkai.

Ice-Cook
9
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Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Les meilleurs road movies, Les meilleurs films de 2023 et Top Makoto Shinkai

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le 23 avr. 2023

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Ice-Cook

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