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Mr Mojo Risin
Il y a parfois conflit entre un film tel qu'il aurait pu être et un film tel qu'il est... c'est bête... mais c'est comme ça ! Morrison est un personnage de fiction grandiose, et en plus il a existé...
Par
le 19 juin 2010
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Remarquable film documentaire, dans le contexte troublé de la fin des années 60, sur le parcours des Doors, la passion de quatre jeunes gens dont tous, hormis Jim Morrison, avaient une formation de musiciens classiques.
Seulement voilà : lui c'était le poète, la gueule d'ange, le surdoué introverti, qui dans ses débuts n'osait pas regarder le public en face, doutait de lui et de sa voix, le genre de personnalité qui pourtant, n'allait pas tarder à devenir, après les Beatles, l'idole d'une génération en pleine mutation.
La drogue puis l'alcool auront raison de cette timidité, transformant l'ange en démon, et des dérapages il y en aura, dans sa vie et sur scène.
Honni après avoir été adoré, le chanteur songera à partir, mais Les Doors sans Morrison, impossible !
Rien n'est raconté de façon classique, mais tout est dit.... Et l'ange déchu, le poète maudit, finira par se brûler les ailes.
C'est Johnny Depp institué narrateur qui donnera le mot de la fin: "Ne peut s'éteindre que celui qui est allumé", conclusion un peu convenue sans doute mais nothing's perfect comme on dit.
Seulement voilà : lui c'était le poète, la gueule d'ange, le surdoué introverti, qui dans ses débuts n'osait pas regarder le public en face, doutait de lui et de sa voix, le genre de personnalité qui pourtant, n'allait pas tarder à devenir, après les Beatles, l'idole d'une génération en pleine mutation.
La drogue puis l'alcool auront raison de cette timidité, transformant l'ange en démon, et des dérapages il y en aura, dans sa vie et sur scène.
Honni après avoir été adoré, le chanteur songera à partir, mais Les Doors sans Morrison, impossible !
Rien n'est raconté de façon classique, mais tout est dit.... Et l'ange déchu, le poète maudit, finira par se brûler les ailes.
C'est Johnny Depp institué narrateur qui donnera le mot de la fin: "Ne peut s'éteindre que celui qui est allumé", conclusion un peu convenue sans doute mais nothing's perfect comme on dit.
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Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Derrière le glamour et les paillettes, l'envers du décor
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le 6 août 2011
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