(ultra) Light my fire
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De cette histoire d'aliénation, de folie et de violence, que rythment les cuites que se prennent les deux personnages, je ne retiens que les échanges tantôt drolatiques tantôt poignants entre Dafoe et Pattinson, qui portent le film sur leurs épaules.
Pour le reste : les cauchemars, les hallucinations, font intervenir des motifs de l'horreur et du fantastique qui me passent au-dessus de la tête. L'étrangeté du film me paraît artificielle, et même si elle est accompagnée d'idées visuelles et sonores intéressantes, elle n'arrive jamais à m'embarquer.
Suivre un film ponctué de moments aussi intenses avec au mieux de la politesse, au pire des bâillements intempestifs, est quand même sacrément révélateur de ce qu'on en retiendra : pas grand chose. Peut-être certains y ont trouvé des grandes réflexions sur la culpabilité, la frustration, ou autre thème entrevu dans le film. Pour ma part, que des micro pistes qui ne m'aident ni à comprendre le film, ni à m'en imprégner.
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Créée
le 27 oct. 2023
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