Cela est peu dire que nous attendions de pied ferme et avec envie le second long-métrage de Na Hong-jin, dont le premier film, The Chaser était un petit bijou noir, taillé au cordeau, qui clouait le spectateur à sa chaise par son rythme effréné et son suspense permanent.
Présenté à Cannes dans la section « Un certain regard », The Murderer laissait entrevoir une œuvre semblable à la précédente, tout en étant plus longue et donc plus ambitieuse. Les premières images laissaient espérer un retour fracassant du génial réalisateur. A tort.
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